1. Retraités en vacances


    Datte: 28/05/2018, Catégories: fh, fhh, hagé, fagée, couleurs, couple, cocus, vacances, hôtel, préservati, pénétratio, fsodo, Auteur: Pierrebx, Source: Revebebe

    ... longuement sucé, léché et j’ai gobé ses énormes couilles. Ensuite c’est lui qui m’a mangé la minette et même l’anus. J’ai joui sous sa langue, c’était très fort.
    
    Il m’a encore fait languir avant de me pénétrer, me caressant partout sur tout le corps, s’attardant sur mes seins, me pinçant les tétons… J’avais pourtant très envie qu’il me prenne. Il a enfin pénétré ma chatte, doucement, lentement, puis de plus en plus vite.
    
    Au bout d’un moment, il m’a fait changer de position, de celle du missionnaire nous sommes passés à celle de la petite cuillère puis à celle d’Andromaque. J’ai pris mon pied maintes fois. À la fin, il est venu éjaculer sur mes nichons et il m’a fait avalé son sperme jusqu’à la dernière goutte.
    
    Nous étions en nage, lui comme moi. On a pris une douche ensemble. Après que je lui ai lavé la bite, il a voulu sortir mais je l’ai retenu, il s’est alors mis à uriner, me forçant à m’agenouiller de telle sorte que j’ai reçu le jet sur mes nichons, sur mon visage et dans la bouche. C’était très bizarre et très excitant ; c’était chaud et très odorant ; je n’ai pas détesté le goût de son urine.
    
    Puis nous sommes revenus au lit et je me suis endormie dans ses bras jusqu’à ce qu’il me réveille. Il avait à nouveau envie, j’ai pris la pose de la levrette, il m’a prise ainsi, me donnant de grandes claques sur le cul.
    
    Paulo parlait espagnol, je ne comprenais pas ...
    ... mais je devinais qu’il me traitait de « grosse vieille salope ». J’ai senti son membre buter sur le fond de mon vagin. J’ai mouillé, abondamment.
    
    Ensuite, il m’a sodomisée d’abord avec douceur puis avec plus de brutalité. J’avais mal mais il a malgré tout continué jusqu’au bout, jusqu’à ce qu’il ait rentré toute sa grosse pine dans mon cul, puis il s’immobilisa un moment. Mon sphincter et tous mes muscles ont alors relâché, la douleur s’est faite supportable. Il a commencé à me pistonner dès que j’ai été plus détendue ; c’était bon. Dans le même temps, je me suis masturbée, jusqu’à la venue de l’orgasme. Il fut fulgurant, j’étais terrassée, du liquide giclait de ma chatte comme jamais.
    
    Paulo aussi se préparait à jouir. Il s’est retiré, a ôté sa capote puis est venu se finir dans ma bouche, inondant ma gorge de sperme que j’ai avalé jusqu’à la dernière goutte.
    
    Je ne sais pas comment j’ai pu faire tout ça… J’étais dans un état second, jusqu’à me faire enculer par un noir… jusqu’à avoir aimé ça… et tout te raconter en plus.
    
    Je la vois émue, j’éprouve le besoin de la rassurer, de prendre ma part de responsabilité.
    
    — Je t’ai libérée et tu as profité de ta liberté. C’est pour ça que je te l’ai proposée, mais je vais quand même te donner la fessée, mon amour de libertine.
    — En rentrant en France, euh… on pourrait rencontrer une femme ?
    — Pour moi ?
    — Non, pour moi ! 
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