Retraités en vacances
Datte: 28/05/2018,
Catégories:
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Auteur: Pierrebx, Source: Revebebe
À l’occasion du départ à la retraite de ma femme, nous nous sommes offerts quinze jours de voyage aux Antilles.
Nicole a 58 ans, moi 63, nous sommes un couple uni et fidèle. Mon épouse est une femme de taille moyenne : 1, 60 m, 68 kg, un peu ronde ; des rondeurs un peu partout qui la rendent très excitante à mon goût.
Notre sexualité a toujours été assez régulière sans être débordante ou extravertie. Nous faisons l’amour au moins une fois par semaine, ce qui, d’après ce que j’entends, est bien pour un couple de notre âge. Bien sûr, nous avons quelques jeux avec martinet ou des sextoys ou bien des sorties sans culotte, ainsi que des séances de photos coquines.
Pour la première semaine des vacances nous louons une voiture et réalisons beaucoup d’excursions en solo, le temps passe vite. Le dimanche soir au cours de la seconde semaine, nous allons au dancing de l’hôtel, il n’y a pas grand monde, quelques résidents et un petit groupe de jeunes noirs venus danser, tout au plus une vingtaine de personnes. Nous prenons une table et commandons un cocktail.
Nicole adore danser sur l’air des musiques caraïbes, elle n’est pas la dernière sur la piste. Moi, piètre danseur, j’attends sur ma chaise. Après un moment, un jeune noir vient me voir et me demande en espagnol (langue de mes origines familiales) s’il peut danser avec ma femme. Je me lève et informe Nicole de l’offre du prétendant ; peu après ils sont sur la piste, tous les deux ravis d’avoir trouvé un partenaire. Après ...
... quelques danses rapides, il en vient d’autres plus lascives, Nicole me jette un regard interrogateur, quêtant mon assentiment avant de continuer. J’approuve d’un signe de tête.
À cette occasion, je comprends ce que veut dire l’expression : coller-serrer.
Les corps du jeune noir et celui de Nicole sont littéralement soudés. Mon épouse se laisse emporter par la musique ; cela dure une dizaine de minutes, puis elle revient s’asseoir les joues un peu rouges. Je fais signe au cavalier de venir boire un verre avec nous, il ne parle pas français, Nicole ne parle pas espagnol, je suis un intermédiaire obligé. Il m’annonce sans ambages que j’ai une belle femme ; il ajoute que, familier de ce club, c’est la première fois qu’il trouve une aussi bonne cavalière. Aussi si nous le voulons bien, il serait heureux de la revoir pour danser. Je traduis pour Nicole, laquelle se montre flattée.
De retour dans notre chambre, Nicole m’explique combien elle a été émoustillée par l’aventure.
— Comment ça ?
— Ben… euh… je sentais son sexe contre mon ventre.
— Il bandait ?
— Je ne sais pas mais ça avait l’air gros.
— Et ça te plaisait ?
— Euh… enfin, oui… un peu.
— Tu veux essayer ?
— Essayer quoi ?
— Plus que la danse.
— Oh !… C’est toi qui me propose ça.
— Oui ! Parce que je t’aime et qu’il peut te donner ce que je ne peux plus, ni ne pourrais plus te donner.
— Mais tu me suffis et je n’ai plus l’âge.
— Pour ça, il n’y a pas d’âge.
— Je ne pourrais pas te tromper.
— Tu ne ...