1. Saga de Chloé/Elina 7 : le foyer de travailleur (1)


    Datte: 24/01/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Elina, Source: Hds

    ... corps laissent à ta discrétion un dernier coup à Aziz et à moi. Quand dis-tu ? On dirait que tu as apprécié le mandrin noir et le mandrin d’arabe…
    
    Je suis fatiguée mais je suis toujours aussi excitée. Je n’ai pas joui, j’ai eu du plaisir mais je n’ai pas eu LE plaisir car aucun de ces types n’était là pour me le brouter le minou, me lécher, me masser, bref… me donner du plaisir…
    
    J’accepte. Sans plus d’espoir. J’accepte car j’ai toujours envie d’être saillie, car je suis une femelle lubrique et que je n’en ai jamais assez.
    
    Je me retrouve sur le matelas avec Ahmadou et Aziz, sous les yeux et les quolibets de tous les autres qui vont, bien entendu, mâter sans en perdre une miette. Tant pis…
    
    Je roule entre les deux corps musclés. Des frissons parcourent déjà mon corps. Leurs doigts me touchent rapidement partout sans que je ne puisse anticiper où ils vont me toucher. Tout le monde rit. Ce jeu m’excite et décuple mon désir d’être saillie, moi qui vibre à l’idée d’être malmenée.
    
    Les injures fusent ce qui décuple le plaisir de l’attente.
    
    Aziz me prend dans ses bras, me fait rouler jusqu’à lui et me fait passer par-dessus lui. J’écarte bien mes cuisses et les montent jusqu’à sa tête. Sa queue est une longue épée dont mon vagin est le fourreau.
    
    Le Black se positionne derrière et bien que mon fion soit bien ouvert depuis les dernières heures, il doit forcer pour le faire entrer dans mon intestin.
    
    Je me sens saillie comme une chienne, comme une jument. Je sens ...
    ... leurs couilles taper lourdement contre mes fesses et je grogne mon plaisir.
    
    Nous trouvons naturellement la bonne coordination, Aziz me mords les pointes de seins, c’est bon. Je me sens démontée par ces deux diables du sexe et je me sens au paroxysme de l’excitation.
    
    Ahmadou, derrière moi, détache une de ses mains de mon épaule et la passe par devant ma moule, il la pause sur mon bourgeon et crie :
    
    - Gueule-le, chienne, que tu aimes ça !!!
    
    - Oh oui, j’aime ça !!! Oh oui, je suis une chienne !!!
    
    Avec son gros doigt, il pince mon clitoris gorgé de sang, le malaxe. Je suis bourrée par les deux orifices, mon clitoris est trituré ; je creuse mes reins et je crie mon orgasme :
    
    - Ahhhhhh !!! Ahhhhhhh !!!!
    
    En jouissant aussi fort, j’ai massé leurs manches et eux aussi se mettent à beugler et à lâcher un jus peu abondant – c’est le troisième jet – mais ô combien
    
    subtilement puissant.
    
    Nous nous sommes effondrés, terrassés par la fatigue, haletant, le cœur battant à tout rompre.
    
    L’extase ne fut que de courte durée car très vite Djamal et Driss me tendirent une serviette propre et mes vêtements propres.
    
    - Dépêche-toi, on est hors délais, le Patron attend dans la voiture…
    
    Je me suis rhabillée comme j’ai pu dans « mon » noir avec le bandeau.
    
    Tous ces hommes m’ont crié des mots de « Au revoir » et « Au plaisir », certains en accompagnant d’injures « trainée », « salope » ou de mots gentils « ma belle » ou « tu es bonne ».
    
    J’ai dit « Au revoir tout le ...
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