1. Quand la réalité dépasse le fantasme


    Datte: 26/05/2018, Catégories: Anal Mature, Inceste / Tabou Auteur: G12, Source: xHamster

    ... je fais demi-tour, direction la boulangerie !
    
    – Oh non !!! Je t’en supplie ! En relevant, maintenant, sa robe, le cul nu sur le siège, tout en pleurant à chaudes larmes.
    
    – Et ben, voilà, tu deviens plus raisonnable, maman chérie ! »
    
    Je m’arrêtai auprès d’un bois et détachai ma ceinture, elle n’arrivait pas à me regarder.
    
    Je m’approchai de son oreille pour lui souffler le chaud et le froid.
    
    « Tu sais, je t’aime très fort, maman chérie ! En lui déposant un baiser sur la joue, la main sur ses grosses cuisses. Elle se calma.
    
    .. Allez, écarte-moi tes gros jambons maintenant que je caresse ta chatte de mère pute, comme je te l’ai dit sur le net…, tu avais l’air d’en avoir envie ! »
    
    Elle éclata de nouveau en sanglots. Je forçai pour lui faire ouvrir les cuisses. Elle lâcha prise doucement.
    
    « Et bien, tu vois, tu vois que tu peux être gentille, ma grosse garce... !
    
    .. Je suis sûr que d’être prise comme une traînée te fait mouiller... ! »
    
    Je vins fouiller sa chatte, très sèche, en fait.
    
    Elle était terrorisée. Je continuai à lui parler plus doucement, tout en la caressant.
    
    Elle tourna la tète, n’osant me regarder, en continuant à pleurnicher.
    
    « Allez, maman chérie, te rends-tu compte que tu vas pouvoir être aimée avec celui qui est le plus complice.... ?
    
    .. Je t’aime, tu sais, je ne veux que ton bonheur, mais il passe aussi par l’épanouissement de tes désirs les plus interdits... !
    
    .. Tu m’as dit, sur le Net, que j’allais devenir ton ...
    ... équilibre dans ce côté obscur, laisse-toi faire, ce sera notre secret ! »
    
    Je l’embrassais tendrement dans le cou tout en lui caressant l’intérieur des cuisses, remontant plus délicatement mon doigt sur ses lèvres. Quel ne fut pas mon bonheur quand je touchai, enfin, la moiteur qui se dégageait de sa chatte maintenant ouverte. Puis, toujours en susurrant :
    
    « Tu vois, maman salope, l’effet que je commence à te faire !
    
    – Mais c’est impossible, tu es mon fils !
    
    – C’est notre secret, beaucoup le font tu sais... !
    
    .. Rien ne nous empêche d’assumer cette envie en secret... !
    
    .. De toute façon, je ne te donne pas le choix ! »
    
    Je lui fis tourner la tête, cette fois-ci. En pleurant et en fermant les yeux, elle eut droit à un baiser sur ses lèvres crispées et closes. Je passai ma langue perverse sur sa bouche en lui parlant de son gros cul que j’adorerai enculer sauvagement dans les bois. Elle ne répondait pas. Je sentais, cependant, ses cuisses s’inonder. Je surpris, enfin, un soupir de sa part, entrouvrant sa bouche. J’en profitai pour y faire pénétrer ma langue.
    
    Elle écartait maintenant, sans résistance, ses cuisses, son souffle devenait plus court. Même sa langue commençait à enrouler la mienne.
    
    « Alors, c’est bon ma grosse pute de parking ?
    
    – Oui mon chéri, mais qu’allons-nous devenir ?
    
    – Mais ce que je t’ai promis sur le Net, tu vas devenir cette grosse cochonne heureuse et perverse !
    
    .. Allons, trêve de plaisanterie, ma garce, descends que je voie un ...
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