1. Quand la réalité dépasse le fantasme


    Datte: 26/05/2018, Catégories: Anal Mature, Inceste / Tabou Auteur: G12, Source: xHamster

    ... un intérêt certain à mes mots, ce qui me surprenait de sa part.
    
    Elle répondit docilement à mes avances lorsque je l’invitai en cam sur MSN. Elle ouvrit rapidement sa cam et moi, la tenant juste ouverte sur mon torse... Je lui fis d’abord parvenir des photos de moi, visage caché sous toutes les coutures. J’éprouvai, tout d’abord, une colère noire quand je m’aperçus que ma mère attendait d’être séduite et était séduite aux mièvreries que je lui rétorquais pour voir jusqu’où elle serait capable d’aller.
    
    Mes intentions se faisaient plus pressantes en lui suggérant une véritable liaison. Elle me répondit qu’elle semblait rêver, tellement elle avait espéré séduire encore un homme ; qui plus est : un jeune et beau mâle, comme je m’étais décris.
    
    J’étais stupéfait de voir le visage de cette mère que je ne connaissais pas se tordre de désir et approuver mes injonctions de plus en plus crues.
    
    De l’horreur, je passai à un trouble que je n’avais imaginé.
    
    L’adrénaline montait, je l’aspirais vers la docilité. Elle se découvrait cette excitation à répondre à mes mots "de grosse salope", en me répondant qu’elle avait toujours eu envie de se faire prendre par un beau jeune salop comme moi. Je passai à la vitesse supérieure.
    
    « Dessape-toi, grosse cochonne, fais-moi voir ton gros cul ! »
    
    Son visage se tordit encore, elle s’exécuta. Je n’en pouvais plus de toutes les femmes "soumises", je sentais en elle, la plus perverse et en même temps, la plus candide, tellement elle ...
    ... transpirait le vice refoulé. Je lui sortis ma queue devant la cam. Je bandais comme un turc… JE BANDAIS DEVANT MA MERE !!!!!
    
    De là, tout dérapa, je voulais l’amener à tous les vices. Je ne voyais plus ma mère, mais une truie assoiffée de sexe. Elle me montra, désormais, ce qu’elle se mettait dans le cul.
    
    Les après- midis passèrent derrière mon clavier pendant une semaine. Je voulais connaître ses désirs dans tous ses retranchements. J’allai même jusqu'à l’émouvoir, la faire mouiller de honte dans ce qu’elle n’avait jamais imaginé. Je l’assénai de tous mes fantasmes, de mes désirs, elle acquiesça et voulait m’obéir, tellement elle voulait goûter la queue de ce jeune pervers. Je la testai, lui parlai d’une conquête passée qui jouait avec son chien. Mon dieu, elle ne rechigna pas. Peu à peu, je l’amenai à mes vices.
    
    Un jour suivant, je m’enhardis à lui envoyer le fichier d’un film zoophile d’une blonde saillie par son berger allemand. Et pendant qu’elle regardait ce film, je lisais son effroi, puis son excitation. Elle admit très vite que cela l’excitait beaucoup, mais ne s’y voyait pas. Avec plus de perversion et d’autorité que jamais, je lui fis dire qu’elle s’y verrait. Elle détailla même en me disant qu’elle s’était vue se faire saillir allongée sur le dos, jambes écartées sur la table basse, à la place de la blondinette du film.
    
    Qu’elle devenait ma chienne, qu’elle vivait un rêve, d’être tombée sur cet homme qui lui faisait découvrir la jouissance extrême encore ...
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