Balade pas trop loin de Lille
Datte: 26/05/2018,
Catégories:
fhh,
couplus,
forêt,
jardin,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... Oui, je comprends mieux.
— Tu avais besoin de regarder comme ça sous la table ?
— Et louper pareil spectacle ? Certainement pas ! Je te conseille d’en profiter aussi, Valentin…
Et à ma grande stupéfaction, Valentin s’accroupit au pied de la banquette, mettant sa tête à raz de la table :
— Oui, c’aurait été dommage de louper ce spectacle !
— Remonte, remonte, avant de te faire remarquer par tout le restau !
— S’il y a quelqu’un qui doit se faire remarquer, c’est bien toi avec ta robe déchirée…
Je me renfrogne dans mon coin. Ah ces hommes qui veulent toujours avoir le dernier mot, c’est pénible à la longue ! Pour me venger, je pique toutes les tomates dans leur assiette. Et puis, une tomate, c’est trop bon pour que je les laisse à ces méchants !
Mon visage s’éclaircit quand je vois arriver mon pavé de bœuf sauce poivre et ses frites. Enfin quelque chose de bien dans ce restau ! Je coupe ma première tranche, je me hâte de goûter, savoir si c’est aussi bon que les autres fois :
— Humm… Impeccable !
Mes deux hommes se contentent de sourire ; moi, je déguste avec félicité mon pavé : la viande, il n’y a rien de tel quand elle est aussi tendre et savoureuse. Rien ne remplace un tel délice, rien. Enfin… bon, je me comprends. Je reconnais que jouir sous les doigts d’un expert ou d’une experte, c’est aussi divin. À bien y réfléchir, manger mon pavé me procure un plaisir proche de la jouissance… Si un jour je suis célibataire, je sais ce qu’il me reste à faire, ...
... même si mon porte-monnaie risque d’en prendre un coup et aussi un coût ! Je m’aime quand je fais des jeux de mots aussi vaseux, mais aujourd’hui, mes deux hommes ne profiteront pas de mes saillies spirituelles ; ils n’avaient qu’à être plus sages et de pas se donner en spectacle comme ils l’ont fait tout à l’heure.
Alors que j’en suis à la moitié de mon pavé, une main masculine se pose sur ma cuisse. Je tourne la tête vers Valentin qui continue de manger son plat comme si de rien n’était. Mon mari est parti se resservir au buffet.« Tu veux jouer à ça ? Pas de problème, je ne broncherai pas. »
Je frisonne quand la main caresse voluptueusement ma cuisse. Je n’ai pas autant de self-control que je le souhaiterais. Néanmoins, je reste impassible ; du moins, je tente. Mon mari revient avec une assiette pleine de choses à base de poissons et autres crevettes. Pas trop mon truc. Je me mordille les lèvres quand la main s’aventure plus haut sur ma cuisse, à l’orée de mes autres lèvres. Je fais quoi ? Je laisse ouvert ou je serre les jambes ?
Par provocation, je les ouvre un peu plus, pour voir s’il osera. La main marque un temps d’arrêt. Face à moi, Pascal pose ses couverts et se saisit de sa sacoche qu’il pose à côté de lui sur la banquette. Je ne sais pas ce qu’il trafique, mais il a à présent ses deux mains sous la table. Je suis suffisamment intriguée pour ne plus prêter attention à mon voisin.
Je sursaute quand la main explore carrément mon intimité déjà humidifiée, un ...