Balade pas trop loin de Lille
Datte: 26/05/2018,
Catégories:
fhh,
couplus,
forêt,
jardin,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... leçon. Je pense même que je devrais prendre une vieille paire pour m’aventurer dans les bois et seulement remettre mes talons-aiguilles une fois arrivée au bon endroit.
Ah, j’entends Zamour qui revient. Ça va, c’est synchro, je suis prête. Je vais dans la salle à manger pour qu’il voie quelle chance il a de m’avoir dans sa vie ! La porte d’entrée s’ouvre, je suis au milieu de la pièce pour qu’il puisse bien contempler ma tenue pour sortir au restau. Je l’entends qui arrive et demande :
— Tu es où, ma chérie ?
— Dans le salon, Zamour !
— OK, on arrive !
« On » arrive ? Ce n’est pas le style de mon Pascal de dire ça, d’habitude ; il dit bien un truc comme « j’arrive », il est rare qu’il parle de lui en se désignant par « on ». Pas grave ! Moi, je dis des choses nettement « plus » pires, sans parler de certaines fautes de grammaire à suicider un prof de français un peu trop tatillon !
C’est alors que je me fige !
Juste derrière Pascal, Valentin. Mon Valentin !
Je reste figée, abasourdie. Mon mari s’écarte un peu, laissant le passage à mon beau dijonnais. Je cligne des yeux : oui, c’est bien lui ; alors je me jette à son cou !
— Eh bien, quel accueil ! dit-il.
— Mais… mais comment ?
— Ton mari et moi avions décidé de te faire une surprise…
— Ah ça, pour une surprise, c’est une belle surprise ! Oh oui !
— Tant mieux alors.
Je savais déjà que mon homme était parfaitement capable de tenir sa langue : il vient de me le démontrer une fois de plus. Je ...
... suis ravie de cette agréable surprise ; je vois à présent d’un tout autre œil mon week-end !
En parlant de mon homme, il arrive juste derrière moi, me met posément la main aux fesses qu’il caresse possessivement, puis affirme :
— Nous allons au restau. Tu es très bien comme ça… Tu es très belle, très sexy, voire ravageuse, pour tes deux hommes !
— Ah… euh… On va où ?
— Là où on peut manger de la viande, mignonne carnassière !
— Oh oui !
— Mais je ne doute point que tu auras encore grand appétit pour exercer tes crocs et tes griffes sur la gent masculine. Je me trompe, ma chérie ?
— Absolument pas ! Je file dans la salle de bain me donner un dernier petit coup de maquillage et je suis à vous.
Je change de soutien-gorge afin d’avoir un décolleté encore plus ravageur ; un peu plus de noir sur mes yeux, et un soupçon de rouge sur mes lèvres. Le tout en deux minutes : mon record, je crois !
Nous arrivons au restaurantLe Rhinocéros dont le décor est très orienté savane, ce qui semble un peu logique, vu le nom. Non, on n’y sert pas de la gazelle ou de l’éléphant, mais la viande y est bonne ; et comme j’adore une bonne côte de bœuf ou un pavé du même animal, quand je peux, je ne me prive pas d’en déguster.
Nous sortons de la voiture, et au moment où j’allais me coller contre mon Valentin, mon mari pousse soudain une exclamation de surprise. Ah bon, il serait jaloux ?
— Nella ! Ta robe !
— Quoi, ma robe ! ?
— Le bas en dentelle est tout déchiré !
— Hein ...