Balade pas trop loin de Lille
Datte: 26/05/2018,
Catégories:
fhh,
couplus,
forêt,
jardin,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... mains. Il ne semble pas plus étonné que ça, même s’il me scrute de la tête aux pieds car je suis toute nue… Je demande :
— Tu as une petite place pour moi ?
— Ça peut se faire…
Il se pousse un peu, soulève le drap, et je viens illico me nicher contre lui. Aussitôt, je constate qu’un peu plus bas, il y a quelque chose qui se manifeste verticalement. Je suis assez satisfaite de moi !
Je constate très vite que lui-aussi est nu, ce qui arrange bien mes affaires et mon besoin compulsif de toucher à tout. Mais je me doute bien que je ne pourrai pas toucher tout de suite, donc je biaise à défaut de baiser ! Je commence donc par un gros câlin sur son épaule avec plein de gros bisous ; il ne dit pas non. Ses mains caressent mon dos ; mes lèvres remontent le long de son cou, arrivent à son menton. C’est lui qui cueille ma bouche dans un premier baiser tendre. Le suivant sera plus exigeant. Les autres encore plus !
Nous roulons dans le lit, indifférents aux draps froissés. Mes seins plaqués sur sa poitrine, mon pubis contre son sexe bien dur, nos jambes enlacées, nos bras serrés autour de nos corps moites… Puis quand nos bouches se séparent, Valentin murmure :
— Tu es une femme infernale ; impossible, mais tellement attirante…
— Attirante ? Juste attirante ?
Il me relâche subitement, se mettant sur le côté :
— Avec toi, je ne sais pas toujours quoi faire, tu es toujours trop… enfin, tu me dépasses…
Complètement libérée de son étreinte, je me redresse :
— ...
... Je te dépasse ? J’exprime mon désir, c’est tout !
Narquois, il s’allonge sur le dos, tête dans l’oreiller et tournant les yeux vers moi, il me demande :
— Et c’est quoi, ton désir ?
Sans vergogne, je m’agenouille par-dessus son torse, mon entrejambe sous son nez, et j’ordonne :
— Occupe-toi de moi !
Il ne répond pas ; je me demande s’il va réagir ou pas. Soudain, la tête de mon Lapin vient se nicher entre mes jambes. Après quelques bisous appuyés sur mon pubis et mes lèvres intimes, lentement, sa langue explore ma fente déjà détrempée, elle s’égare à l’entrée de mon vagin. Je soupire d’aise.
— Oh oui… Continue comme ça !
Je plonge mes doigts dans ses cheveux, je plaque sa langue agile contre ma chatte dégoulinante pour qu’elle me torture encore et encore ! Et il sait quand même bien y faire, je commençais à avoir des doutes sur le sujet… Mais il est vrai qu’il m’a excitée toute la journée, à se défiler. Soudain, sans crier gare, une immense vague me submerge, me retournant complètement. J’explose en multiples cris de jouissance.
Je m’affale à côté de lui, tentant de récupérer comme je peux. Ça a été trop vite ! Je n’ai pas eu le temps de monter doucement en puissance. Oui, je devais être sacrément en manque pour me lâcher aussi soudainement !
— Satisfaite ?
— Oui… bien que… un peu rapide…
— Ah, tu sais comment sont les lapins… et les lapines.
— C’est ça, rigole !
Je reste allongée, assez fourbue. Il se redresse, s’agenouille auprès de ma tête ...