Quatre femmes pour mes quarante ans
Datte: 26/05/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
voisins,
Collègues / Travail
voiture,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
Masturbation
intermast,
rasage,
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
hgode,
confession,
Auteur: Mcguil83, Source: Revebebe
... Marguerite. Si j’osais, je ferais des folies avec vous.
— Je ne devrais probablement pas accepter ces avances déguisées en compliments, mais tu sais à mon âge, je n’ai plus rien à espérer sinon du bonheur avec les quelques personnes attentionnées à mon égard.
— Vous avez d’autres amants dans la vie ?
— Non tu es le seul, et j’en suis arrivée à coucher avec toi parce que tu es très gentil et prévenant.
— Sinon vous ne le feriez pas ?
— Certainement pas, je n’ai jamais trompé mon mari et même veuve depuis 15 ans, tu es le premier à obtenir mes faveurs et tu resteras le seul.
— Regrettez-vous me m’avoir offert ce privilège ?
— Parfois oui, quand ma conscience me fait la morale, parfois non, quand tu es là.
— Donc maintenant, je peux profiter de votre corps ?
— Si je ne te déplais pas trop, je veux bien, mais veux-tu boire quelque chose avant ?
— Non, je veux bien profiter de votre corps de suite, comme cela nous aurons tout le temps pour déjeuner tranquillement.
— Eh bien allons-y, le repas est prêt et peu attendre. J’ai fait des maquereaux marinés au vin blanc avec des pommes de terre en robe des champs.
Nous allons vers la chambre où le lit est préparé. La pièce est inondée de lumière en cette belle journée d’été, et par la fenêtre ouverte j’aperçois un ciel bleu sans nuage.
— Veux-tu que je ferme les persiennes, me dit Marguerite ?
— Non, ce n’est pas nécessaire, à cet étage, il n’y a pas de vis-à-vis et ainsi j’aurai l’impression de faire l’amour en ...
... pleine nature avec un ciel bleu azur comme ciel de lit.
— Cela ne me dérange pas non plus. Tiens, descends la fermeture éclair de ma robe, ce n’est pas très facile pour moi de le faire seule.
Je m’assois sur le lit, Marguerite me tourne le dos et je descends tout doucement la fermeture de sa robe. Puis, je dégage ses épaules pour laisser tomber la robe jusqu’aux hanches. Avec mes mains baladeuses, je caresse ses petits seins prisonniers du soutien-gorge, puis en libérant les hanches de la pièce de tissu, je descends les mains vers les cuisses à la rencontre des jarretelles qui retiennent des bas couleur vison doré.
Je vérifie que les quatre jarretelles sont bien en place et je m’y attarde quelques instants. Puis je passe sous la combinaison bleu-pastel et je remonte vers la culotte. Je passe mes doigts dans l’élastique et je la descends d’abord au milieu des cuisses puis jusqu’aux chevilles où elle rejoint la robe aux pieds de Marguerite. Je caresse sa chatte poilue, osant un doigt vers l’intérieur à la recherche du clitoris bien encapuchonné dans la vulve. Marguerite me serre dans ses bras et nos lèvres se rencontrent pour un long baiser langoureux. En reprenant nos esprits, Marguerite me dit :
— Quand tu auras fini ton exploration, nous pourrons peut-être prendre une position plus confortable, j’ai le sentiment que le lit nous attend ?
— À vos ordres Madame !
Je jette un coup d’œil sur le réveil posé sur la table de nuit, il est tout juste 12 h 30… Mon objectif ...