Quatre femmes pour mes quarante ans - Histoires de Sexe

Quatre femmes pour mes quarante ans

... avec ses formes généreuses et ses dérives sexuelles, mais je ne veux pas te déplaire. Tu comptes énormément pour moi, tu m’apportes beaucoup moralement et sexuellement et, hormis de nouvelles expériences avec Line, je n’attends rien d’elle. Sache aussi, Maryse, que rien ne se passera avec elle ou d’autres femmes sans que je ne t’en parle auparavant. Tu m’as offert tout de toi y compris ton corps, et maintenant je dois renvoyer l’ascenseur en étant reconnaissant et honnête.
— Merci mon chéri… Veux-tu faire l’Amour ?
— Avec toi, oui ! Mais j’ai du travail qui m’attend.
— Écoute, tu m’as excitée et séduite par tes propos et je veux te prouver que je ne t’en veux pas.

Mes mains caressent son corps, l’une presse ses seins potelés pendant que l’autre, plus baladeuse, remonte le long de sa cuisse à la recherche de son sexe. Elle n’a pas de culotte et il m’est facile de contourner la cuisse pour diriger mes doigts dans sa chatte rasée entre ses lèvres humides. Elle m’aide dans mon exploration en écartant les jambes tout en se repositionnant plus confortablement sur mes genoux. Dans son entrecuisse, je peux sans souci, aller de sa vulve à l’anus que je pénètre d’un doigt mouillé de cyprine.

— Ne crois-tu pas que nous serions mieux au lit qui nous attend, encore tout chaud avec en prime mes odeurs de la nuit ?
— Oh ! Oui, bien sûr, je n’attends que ces doux instants dans tes bras.

Et nous prenons, enlacés, le couloir conduisant de la cuisine à la chambre.

∞∞∞∞∞

Je ...

... suis vite déshabillé et Maryse encore plus, n’ayant qu’un peignoir à ôter.

— Je garde ma nuisette ou pas ? dit-elle.
— Pour le moment garde-la, car je vais commencer par te rafraîchir le pubis, j’ai senti tout à l’heure que les poils commençaient à repousser.
— C’est vrai que tu m’as négligée ces derniers temps, et je crois qu’un rasage s’avère plus que nécessaire.

Aussitôt dit, aussitôt fait, j’attrape le rasoir dans le tiroir de la table de nuit et, à sec, je joue au coiffeur. Les volets sont ouverts et le soleil du matin caresse son corps pendant que je visite le mont de Vénus avec grandes et petites lèvres jusqu’au vagin, Maryse est d’autant plus indécente qu’elle ouvre largement les cuisses en passant une jambe par-dessus mon épaule de façon à bien m’offrir son sexe. En quelques minutes, elle a retrouvé un sexe de gamine imberbe, et je sais qu’elle apprécie de se regarder nue devant la glace de sa salle-de-bain ou celle de la porte de l’armoire.

— Voilà Maryse, c’est fini. Tu peux aller te rafraîchir à la salle-de-bain. Veux-tu que je t’accompagne ?
— Non, ne bouge pas, je n’en ai pas pour longtemps.

Effectivement, mes rêveries ne durent guère avant qu’elle ne revienne, entièrement nue, tenant à la main mon gode anal lubrifié et je dois accepter qu’elle me l’introduise dans l’anus. Elle pousse sans difficulté ni ménagement le gode de 6 cm de diamètre jusqu’à la garde. Elle vient alors se blottir dans mes bras, au creux de mon épaule, sans bouger. Je sais ...