1. Je me découvre salope... et j'aime ça ! (2)


    Datte: 25/05/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Gigi11, Source: Xstory

    ... corps qui se cherchaient, des caresses furtives, des regards alanguis.....
    
    Mon cavalier ne me lâchait pas, toujours aimanté par mon décolleté, mes tétons qui griffaient le tissu qui les contenait, comme pour s’en échapper.
    
    Ses propos se faisaient plus.......... coquins, plus explicites.
    
    Il me complimentait sur ma souplesse, me trouvait parfaite cavalière, regrettait que je ne sois pas venue lors des soirées précédentes, bref, me draguait ouvertement.
    
    Moi, je revivais nos danses lascives, ses mains qui tenaient fermement mes hanches, le plaisir de sentir son désir contre mon ventre, et cette idée folle qui m’avait traversé l’esprit et qui tournait en boucle dans ma tête, obsédante.....
    
    Alors, je retournais danser, lovée tout contre lui, ravie de constater qu’il continuait de me désirer.
    
    Et quand nous croisions mon mari et sa blonde, je fermais les yeux, m’abandonnais davantage, laissant même ses mains s’égarer sur ma croupe.
    
    Mais quand nos bouches se frôlaient, nos souffles se mélangeaient, si proches, je détournais la tête pour lui refuser le baiser furtif qu’il quémandait.
    
    Je continuais de plaquer mon ventre contre le sien pour sentir son désir grandir, avant de l’abandonner, revenir, en maîtresse du jeu, pour l’amener au paroxysme de son envie.
    
    Hummmm ! ça serait bon de lui faire perdre le contrôle des ses sens, jusqu’à ce que, malgré lui, il déverse sa semence.
    
    Rien que d’imaginer ce gros sexe agité de spasmes incontrôlés et ces jets ...
    ... puissants de sperme chaud....... mon ventre devenait chaud, ma petite fente se couvrait de liqueur.....
    
    J’adorais cette sensation de puissance, imaginant qu’une simple caresse donnée ou refusée de ma main lui procurerait le plaisir de la jouissance ou le laisserait frustré, pantelant.....
    
    Pour un peu, le spectacle me ferait jouir moi aussi !
    
    Mais la musique a cessé, la lumière revenue...
    
    Je suis restée un instant lovée contre lui, pour qu’il respire une dernière fois mon parfum, qu’il sente la chaleur de mon corps, mes seins gonflés de désir contre sa poitrine, si proches....... et si inaccessibles.
    
    En revenant vers notre table, ma démarche était assurée, en femme sûre de son pouvoir de séduction, et tant pis si à chacun de mes pas, les pans de ma jupe s’ouvraient, dévoilant la chair blanche de mes cuisses.
    
    Mon mari était déjà là, sa cavalière avait posé les mains sur son épaule et lui parlait à l’oreille.
    
    — Dommage que ce soit terminé, dis-je. J’ai passé une excellente soirée, surtout avec un tel cavalier, ajoutais-je.
    
    — Et vous, vous avez aimé ? demandais-je à la blonde.
    
    — Dépêchez-vous d’avoir de bons résultats, j’ai hâte de recommencer !
    
    — On rentre ? demandais-je à mon mari.
    
    Il m’a regardé d’un air interrogatif.
    
    Je me suis penchée vers lui et murmuré au creux de l’oreille :
    
    — Ça m’a donné des idées, si tu savais !
    
    On a refait le tour de la salle, saluant les uns, faisant la bise aux autres...
    
    Enfin, mon cavalier a posé ses mains sur ...