1. Je me découvre salope... et j'aime ça ! (2)


    Datte: 25/05/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Gigi11, Source: Xstory

    Pendant tout le repas, la grande blonde assise à côté de mon mari semblait n’avoir d’ yeux que pour lui, riant de tous ses propos, se penchant vers lui pour lui dire à l’oreille des choses que je n’entendais pas, vu le brouhaha de la salle.
    
    Elle le draguait ouvertement, quoi. "Quelle salope", pensais-je.
    
    Puisqu’il en était ainsi, moi aussi j’allais jouer.
    
    Mon voisin d’en face me faisant la conversation, débitant des fadaises.
    
    Sous prétexte que j’entendais mal à cause du bruit, je me suis penchée vers lui, lui offrant une vue imprenable sur mon décolleté qui semblait l’ hypnotiser.
    
    Sous la table, mes cuisses se croisaient et se décroisaient nerveusement presque malgré moi, et mon ventre, délicieusement caressé par l’air, rendait la situation terriblement excitante.
    
    Et quand le pied de mon voisin est venu contre ma cheville, je lui ai décroché un joli sourire sans esquisser le moindre geste de recul.
    
    Discrètement, j’ai pris la main de mon mari, l’ai posée sur ma jambe, lui laissant l’initiative de découvrir les trésors qu’elle cachait.
    
    Sa main a glissé doucement, abandonnant le soyeux de mes bas, butant sur l’attache de mon porte-jarretelles, découvrant la douceur de ma peau, mais mes cuisses restaient obstinément fermées.
    
    Alors, elle remontait vers mon ventre, mon ticket de métro......... mes cuisses s’ouvraient légèrement, comme pour une invitation muette, avant de se refermer aussitôt.
    
    Je continuais de fixer d’un air intéressé mon ...
    ... interlocuteur qui ne pouvait s’empêcher de lorgner mon décolleté, tandis que je feignais d’ignorer cette main baladeuse et ce pied caressant.
    
    Je découvrais, avec bonheur, cette sensation nouvelle d’être désirée par deux hommes à la fois.
    
    Offrant mes cuisses à l’un, mais lui refusant ma petite chatte pourtant si proche, et mon décolleté et les appâts qui s’y cachaient à l’autre, qui ne pouvait que les dévorer des yeux.
    
    C’était grisant et terriblement excitant.
    
    Puis, la musique a retenti.
    
    Des couples se sont formés rapidement.
    
    — Vous dansez ? me demanda mon voyeur.
    
    Je me suis tourné vers mon mari :
    
    — Je peux ?
    
    Et avant qu’il ne réponde, je me suis levée rapidement pour rejoindre mon chevalier servant.
    
    Ma jupe s’est refermée juste à temps, mais il n’avait pu ignorer le noir de l’attache de mon porte-jarretelles sur la blancheur de ma peau.
    
    Nous avons rejoint les danseurs, il a plaqué ses mains sur mes reins, m’attirant contre lui.
    
    J’ai posé mes bras sur ses épaules.
    
    Je l’ai laissé nous diriger et, doucement, mais sûrement, nous nous sommes éloignés des tables vers une zone moins éclairée ou il se fit..... plus entreprenant.
    
    La musique langoureuse me rappelait les boums de mon adolescence et mes premiers émois.
    
    Mais je n’étais plus cette jeune fille un peu niaise que des caresses maladroites faisaient trembler, espérant et redoutant à la fois autre chose.
    
    Ce soir, je me sentais femme accomplie, je n’étais plus la proie, mais la maîtresse du ...
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