Petit diable !
Datte: 25/05/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
Collègues / Travail
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
pénétratio,
Auteur: PapaTangoCharlie, Source: Revebebe
... ! Elle s’était très bien rendu compte de l’émoi qu’elle avait causé chez son élève, mais elle n’en avait cure et continuait tranquillement ses explications, de manière tout à fait naturelle, comme si tout cela était parfaitement normal.
— Je ne vous sens pas très attentif, s’amusa-t-elle. Voulez-vous que je reprenne mes explications ?
— Euh… Oui parvint-il à prononcer sans lever les yeux de cette poitrine qui lui sembla être la plus belle qu’il n’eût jamais vue.
Continuant son jeu, Agnès reprit ces explications, toujours penchée sur le bureau. Mais elle fut à son tour très troublée, à la fois par le regard insistant d’Antoine sur sa poitrine et par l’émotion qu’elle ressentait à l’exhiber à un jeune inconnu. Sa voix changea soudain de ton :
— Comment trouvez-vous mes seins, lui susurra-t-elle d’une voix chaude ?
— Euh… Ils sont très beaux, madame… Euh, je veux dire Agnès !
Elle se releva, soustrayant enfin à son élève l’objet de son extase.
— Je veux que tout cela reste entre nous, Antoine, fit-elle sur un ton subitement redevenu autoritaire. C’est entendu ?
— Bien sûr, madame.
— Agnès, s’il vous plaît.
Puis, retrouvant un ton plus doux, elle reprit :
— Ça vous dirait de les revoir ?
— Oh oui ! répondit-il avec enthousiasme.
— Eh bien dans ce cas, il faudra vous montrer un élève studieux et attentif.
— Comptez sur moi, Agnès, répondit-il, avec un sourire soudain complice.
Elle vint s’asseoir près de lui et la formation continua. Tout au moins, ...
... il aurait fallu qu’elle continuât, mais l’un comme l’autre avaient dès lors l’esprit ailleurs. Antoine cherchait constamment à plonger ses yeux dans le décolleté de sa patronne, quant à cette dernière, très troublée, elle se montra de plus en plus aguicheuse. Non seulement elle laissa Antoine se pencher sur son décolleté, mais elle crut bon de faire glisser sa robe, pourtant déjà courte, découvrant ainsi généreusement ses cuisses. Le jeune homme sentit l’excitation monter en lui et son sexe commença à se durcir. Les cuisses nues de sa patronne étaient à dix centimètres de sa main droite, tellement belles, tellement excitantes et tellement tentantes. Mais il n’osait pas. Les mêmes tentations s’étaient emparées d’Agnès. Elle aurait tant aimé qu’il glissât sa main sous sa robe, qu’il arrachât son petit string. Elle avait tellement envie aussi de tâter sa verge, afin d’évaluer son désir. « Mais que m’arrive-t-il, se dit-elle soudain, je suis en train de perdre la tête ! » Elle en avait déjà beaucoup trop fait en lui exhibant sa poitrine, il était temps de revenir à des pensées plus dignes de son rang hiérarchique. Pourtant, ces idées légères lui firent un bien immense !
Ils étaient tous deux plongés dans leurs pensées coupables, quand soudain le patron fit irruption dans le bureau.
— Alors, comment se passe cette formation ? s’écria-t-il d’une voix sonore.
Ce fut alors la panique dans le bureau : Agnès tira brusquement sur sa robe pour recouvrir ses cuisses, rectifia sa ...