Petit diable !
Datte: 25/05/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
Collègues / Travail
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
pénétratio,
Auteur: PapaTangoCharlie, Source: Revebebe
... fond de l’étagère, il sentit se poser sur sa cuisse gauche, une main dont la chaleur lui procura une indicible sensation. Puis l’instant d’après, il sentit l’autre main se poser sur l’intérieur de la même cuisse et la sensation se mua alors en pur plaisir. Il se retourna, prit le temps de plonger son regard dans le décolleté, puis demanda le dossier suivant. Au regard insistant d’Antoine, elle prit tout à coup conscience que son décolleté, qui s’était ouvert à force de manipuler des cartons, devait lui offrir la vue de ses seins. Ravie de cette situation, elle ne chercha nullement à les cacher, bien au contraire.
Antoine rangeait le deuxième dossier lorsque les mains d’Agnès se posèrent de nouveau sur sa cuisse. Mais quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’il sentit l’une d’elles remonter imperceptiblement l’entrejambe de son pantalon. Peu après, il perçut le contact insistant de cette main avec ses testicules. Il se persuada d’abord que ce contact n’était que fortuit, puis il se dit que, dans le doute, autant en profiter en faisant durer ce moment.
— Je vous passe la suite ? coupa Agnès, le tirant de son extase.
Lorsque le troisième carton fut à son tour rangé, Antoine n’eut plus de doute sur les intentions de la directrice-adjointe : cette fois, sa main, ne se contentant plus des testicules, serrait également en son creux sa verge encore molle. Sans réfléchir, il ferma les yeux afin de mieux goûter l’instant tout en se disant en lui-même :Quelle salope !
— Carton ...
... suivant, fit-elle comme si tout cela était parfaitement normal.
Il se retourna pour saisir le dossier et il eut un choc lorsqu’il découvrit que sa perverse patronne avait fait glisser l’une des fines bretelles de sa robe, libérant totalement un sein et découvrant l’autre à moitié. Le rythme cardiaque d’Antoine accéléra alors brusquement. Mais tout cela n’était que le début : lorsque le quatrième dossier fut rangé, la main d’Agnès se mit à lui pétrir le paquet sans le moindre ménagement. Encore une fois, il ferma les yeux, tout en se demandant bien où elle voulait en venir ! Bien entendu, sous l’effet de cette manipulation énergique et même un peu douloureuse pour lui, sa verge durcit très rapidement.
— Doucement, euh… madame. Vous me faites mal ! fit-il comme un enfant apeuré.
C’est plutôt le mot « salope » qui lui était venu naturellement à l’esprit, mais, même si elle le branlait comme une salope, la patronne restait la patronne ! Entre ses mains, il avait l’impression d’être le jouet impuissant d’un jeu pervers, mais un jeu qu’il n’avait aucune envie d’interrompre. Son plaisir était trop fort. Alors il adopta une attitude de plus en plus soumise.
— Carton suivant, dit-elle autoritaire, tout en relâchant la main.
— Euh… Oui.
Ses seins nus eurent un soubresaut quand elle lui passa le cinquième carton. Il trouva le spectacle charmant et s’en régala les yeux avec délice.
Lorsqu’il poussa le cinquième dossier au fond de l’étagère, il sentit les mains d’Agnès ...