Jeton
Datte: 25/05/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
poilu(e)s,
photofilm,
fsodo,
lettre,
Humour
Auteur: Maria Del Toboso, Source: Revebebe
... abandon en me doigtant furieusement ? Heureusement, tu es revenu, tout fier ! Et je me suis dit que pour te récompenser, j’allais tout te donner : mon cul, mon con, mes seins ! Quel délice quand j’ai pris ton vit, et que lentement, te chevauchant, je me le suis entré – toute seule – dans ma fontaine lumineuse, pendant que tu te plongeais entre mes seins ! Je sens encore le frottement doux dans mon ventre, cette douceur inouïe et insurpassable ! Et toi qui me doigtais le petit capucin pendant ce temps-là ! Je crois bien que j’en beuglais ! Ah ! Putain ! Que c’était bon !
Le summum s’est produit lorsque tu as commencé, pendant que tu me branlais le navigateur, à me rentrer des doigts dans le cul ! C’était bien la première fois qu’on me la faisait celle-là ! J’étais arrimée sur ton mât, et je sentais ton invasion, un peu dure au départ, jusqu’à ce que je décide de te serrer tes doigts avec ma rosette. Et là, ce fut le déclic ! Avant que tu ne débandes, il fallait que je sente ton chibre dans mon tréfonds ! Mais pas de violence ! Pas question de laisser un gros conquérant me défoncer en restant coite ! Je te l’ai susurré, et tu as accepté la cérémonie : onction lentement appliquée des eaux de ma fontaine sur ma rosette ! Pareil pour ton superbe nœud ! Et me voilà, te tournant le dos, et m’asseyant doucement en m’enfonçant ton vit au fond de mon cul ! Ce ne fut pas immédiatement délicieux : il fallut que je m’accoutume à ta grosseur et à la douleur ! Heureusement que tu ...
... continuais à m’agiter le clito de tes doigts agiles ! Je dois te l’avouer : c’est ce qui m’a fait prendre mon pied ! Je sentais bien que tu voulais me pistonner dans le cul, mais j’ai réduit au strict minimum, en te serrant bien pour que tu puisses cracher ta crème !
La fin fut délicieuse, et je voulais encore t’en remercier ! Les mecs ne savent pas être tendres après ! Or toi, tu m’as câlinée ; j’étais dans tes bras, couchée sur toi. Je sentais ta quéquette débandée sous ma motte, et je coulais de tous mes trous sur ton ventre. Je sentais cette chaude humidité faite de nous deux ; je sentais mes seins écrasés contre ta poitrine, et ta barbe de la veille qui griffait ma joue. Je crois que nous nous sommes endormis enlacés et j’étais heureuse !
J’ai retrouvé Arnaud. Je le regarde en ce moment tout nu à côté de moi. Ne sois pas jaloux : vous ne courrez pas dans la même catégorie ! Je crois bien que c’est la fin ! Le pauvre canard n’a pas compris ce qui lui arrivait ! En fait, tu m’as appris qu’on pouvait avoir de la conversation après avoir baisé, et j’ai adoré cela ! Je crois qu’il ne se passera pas huit jours avant que je l’aie largué !
Dans le fond, je t’aime.
Giovannina
P.S. : N’oublie pas de m’envoyer les tirages des photos que tu as prises. En particulier, je veux celle que tu as prise à la fin, où j’ai la chatte toute blanche de ton foutre !"
Telle est Giovannina. Et je viens de recevoir une nouvelle lettre : elle me demande d’être son témoin à son mariage… ...