1. Le mai 68 d'un soumis qui s'ignore enc


    Datte: 24/05/2018, Catégories: Masturbation Première fois Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: soumis36000, Source: xHamster

    ... larges…
    
    Soudain, sans que je n’ai rien vu venir, à part un léger basculement en avant de son bassin, un jet puissant gicla en direction du trou m’arrosant l’oeil, ce qui me fit reculer brutalement et tomber en arrière !
    
    Elle continua à pisser abondamment. Elle avait dû se rapprocher du trou et la pression était telle qu’un jet pénétrait dans ma cabine et m’arrosait le buste et la bite ! Elle me criait d’un ton menaçant et convaincant, qu'elle allait appeler le maître nageur...
    
    Je sentis un fort taux d’adrénaline m’envahir et je dois l'avouer, une certaine appréhension pour la suite des événements. Il se produisit alors un événement qui ne s’est jamais reproduit par la suite, dans toute ma vie.
    
    Alors que les jets d’urine avaient cessés et que je me frottait les yeux brûlant d’urine, ma bite se mit à gicler abondamment dans tous les sens, tant les spasmes de mon bassin était saccadés. Je me sentais honteux et la peur m’envahit de nouveau. Je jetais malgré tout un regard craintif vers le trou et je vis l’oeil goguenard de la danseuse me fixer intensément. Le temps me parut interminable...
    
    Eh bé ! Elle est pas grosse mais elle gicle fort ta petite quéquette, pauvre p’tit branleur ! Allez sauves toi, sauves toi avant que j'appelle le maître nageur !
    
    Je me relevais et sortis affolé de la cabine. Soudain, je me rendis compte que dans la panique, je n’avais pas remis, ni même ramassé mon maillot. Un groupe de filles attirées par les cri de ma pisseuse ...
    ... m’entouraient. Elles se mirent toutes à ricaner quand elles me virent nu.
    
    C’est la que je me rendis compte que j’étais à poils… je me précipitais dans la cabine récupérer mon maillots et ressortis précipitamment. Mon torse et mon bas ventre maculés de sperme et d’urine commença à attirer les regards. Elles se mirent à ricaner encore plus et deux trois saintes nitouches poussèrent des cris de dégoût en me traitant de sale petit dégueulasse !
    
    L’une d’elle m’arrache mon maillot des mains se protégeant derrière le groupe pour m’empécher de lui reprendre. Entre temps la danseuse - pisseuse qui avait remit son maillot, sortit de sa cabine. Elle comprit la situation quand elle vit les autres me narguer, se passant entre elles mon maillot de bain et le cachant dans leurs dos.
    
    La scène dura à peine une minute qui me paru une éternité. Enfin la danseuse réclama le maillot et le frotta énergiquement sur mon bas-ventre et mon torse, pour l'imbiber de mon sperme et de son urine… Puis s’en me laisser le temps de réagir, elle me l’enfila sur la tête et me couvrit le visage avec.
    
    “Allez sauves toi sale petit merdeux de voyeur ! Vas cacher ta p’tite bite ! Allez dégages p'tit branleur !”
    
    Je ne pris même pas le temps de remettre mon maillot et je déguerpi, la queue toute recroquevillée entre les jambes, sous les quolibets de toutes les filles, je couru vers le parking, ou je me savais en sécurité.
    
    Inutile de dire qu’aujourd’hui encore, lorsque je me remémore cet événement, mon pouls ...