1. Le mai 68 d'un soumis qui s'ignore enc


    Datte: 24/05/2018, Catégories: Masturbation Première fois Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: soumis36000, Source: xHamster

    ... !
    
    Depuis ce jour, il m’est impossible de m’imaginer une femme sans poil. Cette première chatte poilue m'a tellement marqué que j’en oubliais totalement de mater ses seins. Ce n’était pas grave car tout au long de l’été j’eu l’occasion d’en voir de toutes les tailles et de toutes les formes possibles ainsi que des chattes toutes poilues sans exception ! De tous les styles : brunes, blondes, rousses, châtains, brouissailleuses, luxuriantes, clairsemées, frisottantes, aux poils longs et fins, lèvres roses émergeant de la touffe, lèvres sombres et mystérieuses, vulves bombées et gonflées ! Et toutes ces paires de fesses ! Tous ces culs de formes diverses et variées !
    
    Parfois certaines filles ou femmes se rendaient compte qu’elle étaient matées et mettaient une serviette devant le trou mais pas toutes. J’ai parfois croisé des regards interrogateurs, en colère, parfois amusés.
    
    Mais les regards qui m’ont le plus marqués parce que rares, ce sont les regards de femmes fixants le trou et mon oeil pendant toute la durée du déshabillage et du rhabillage ! Des regards hautains, arrogants voire ironiques et moqueurs… Des regards tellement pénétrant que je me reculais parfois, intimidé et gêné…
    
    Certaines en profitaient alors pour approcher leur oeil du trou et c’était moi alors le maté. Je voyais cet oeil inquisiteur fixer et observer mon corps nu (car je me mettais nu pour me branler), fixer ma petite bite raide et courbée vers mon nombril, puis remonter vers mon visage ...
    ... comme pour bien mémoriser les traits de mon visage.
    
    Je me sentais alors honteux et gêné, apeuré à l’idée qu’elles allaient me dénoncer ! Je me sentais alors à leur merci et c'est certainement ces femmes ou filles là qui me révélèrent le pouvoir des femmes sur les hommes et surtout sur moi. C’est ces femmes là qui me firent me sentir inférieur et me révélèrent ma soumission envers elles, soumission qui était en moi depuis toujours...
    
    Il arriva deux ou trois fois que certaines en sortant, informent leurs copines en parlant fort exprès : y'a un p’tit merdeux qui était en train de se branler en matant mon cul !
    
    Je les entendais s’éloigner en riant à pleines gorges…
    
    Une seule, une fois m’a interpellé de l’intérieur de sa cabine. Elle était toujours entièrement nue et passait sa serviette entre ses cuisses pour s'essuyer, en écartant sa vulve avec deux doigts. Elle avait des lèvres sombres, presque noires, une touffe envahissant ses cuisses et remontant vers son nombril. La raie des fesses aussi poilue que celle d’un homme !!
    
    “J’espère que ça te plait le spectacle !” Elle se mit à se tortiller et a simuler une érotique danse du ventre… Cette fois ci, je pris mon courage à deux mains et continuais à mater. Fier de mon acte de courage, je me mis à secouer ma petite queue comme un fou. Je me branlais si fort que ma main tapait sur la paroi, et faisait ricaner la belle danseuse dont je voyais le cul par intermittence, vibrer et trembloter à chaque ondulation des hanches ...