1. J a r din s ecret


    Datte: 24/05/2018, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... ému.
    
    Puis vins ce fameux jour où elle croisa plus haut ses cuisses. Il faut dire qu'un vieux jouxtant son banc était absent ce jour. Je me souviens il faisait fort chaud en ce mois de mai. Elle portait des mules noires à talons hauts. Elle ne portait pas de bas cette fois-là . Sa chair était nue étale que pour moi seule. J’avais du mal à réprimer une érection. Elle eût un regard cette fois plus expressif pour moi. Il portait comme ce message : « Ta queue m'aime bien! » Elle effectuât un petit jeu consistant à balancer l'une de ses mules au bout d'un pied. Ce dernier mignon était maculé de rouge à ses ongles.
    
    Puis un moment se tournant vers moi, elle décroisa tout à dessein ses cuisses. J'y vis entre et distinctement un peu de sa culotte. Celle-ci était minuscule, transparente et emplie de son sexe. Celui-ci me sauta comme à la figure. Je n'avais jamais vu pareille vulve. Je dus demeurer stupide ainsi comme en arrêt un long temps. Elle ferma enfin ses cuisses. J'en avais vu trop pour aujourd'hui. Des gouttes me perlaient au front. Je pouvais prétexter que le soleil à cette heure fut trop insoutenable. Elle se leva. Je pus distinguer qu'elle dandinait du cul en s'en allant par l'allée.
    
    J'étais décidé à passer à l'action et à mettre un terme à ce supplice. La prochaine fois je la suivrais et lui emboîterais le pas. Elle découvrirait du même coup que j'habitais le même immeuble et que nous étions voisins. Ce serait à mon tour de jeter un trouble dans sa vie. Je mis à ...
    ... exécution mon plan. Je pus remarquer avec satisfaction, un éclair de stupéfaction dans son regard tandis que j'entrais dans le même immeuble qu’elle m'enfournant dans une autre entrée que la sienne. Je triomphais. Elle mesuras que je la connaissais mieux qu'elle ne croyait. J'incarnais à mon tour un même mystère.
    
    J'eus peur cependant de l'avoir décontenancé voire effrayé et qu'elle voulut me punir pour cela. Il était possible que pour un temps elle ne vint plus au square. J'avais forcé le destin. J'avais été brutal d'une certaine façon. Heureusement et à mon grand soulagement elle s'encadra bientôt au fond de l'allée et vint s'asseoir près de moi comme à l'habitude. Je pus lui adresser un regard doux empreint de gratitude. J'avais conscience de sa mansuétude. On eût dit qu'une connivence incontestable s'était installée entre nous à présent. Le pied mutin au bout de sa mule semblait ce jour-là nous célébrer.
    
    La chair opulente de ses cuisses plus qu'une promesse me semblait déjà mienne. Il ne tenait qu'à moi en légitime titulaire de venir me servir. Ses regards vers moi étaient dénués de toute équivoque.
    
    Il s'ensuivit que je fus bientôt derrière elle peu après qu’elle se levât. Je crois que les autres remarquèrent ce quelque chose de décisif entre nous. J'attendis que nous parvînmes à notre immeuble pour l'aborder. Je vis distinctement qu'elle tenait à la main, l'étranger de Camus. Je lui chuchotais à l'oreille : «Pas mal Camus mais vous devriez lire sa « Chute ». Elle ...