1. Hélène (33)


    Datte: 24/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: rouge22, Source: Xstory

    Hélène fouettée : deuxième partie
    
    Hélène.
    
    Elles bloquent mes chevilles, et elles tirent mes poignets vers le haut. J’aime être étirée, mes jambes sont affinées par l’étirement, et la cambrure remonte mes fesses, cela met mes courbes en valeur.
    
    Je reprends mon souffle, je sens mon clitoris palpiter, ma mouille coule le long de mes cuisses.
    
    Elles se replacent derrière moi.
    
    Rien, elles me font attendre...
    
    Alors, par défi, je me cambre, et j’agite mon glorieux popotin.
    
    Cela ne loupe pas, une première cinglée énergique arrose mon cul et mes cuisses. Une deuxième cible le haut de mon dos. Une pause, elles me laissent déguster ce premier round.
    
    Puis, elles recommencent méthodiquement, sans hâte, alternant fouet et martinet, descendant et montant de mes épaules à mes cuisses.
    
    C’est l’enfer, je n’ai jamais été traitée sur tout le corps. Pierre ne s’occupait que de mon cul, de mes cuisses, parfois de mes seins.
    
    Et surtout, il ajoutait toujours une pointe de plaisir à mes souffrances.
    
    Là, en ce moment, je ne suis plus qu’une bête à fouet.
    
    Je me perds, je ne distingue plus les cinglées, seulement une douleur continue, je hoquette, je pleure.
    
    Et pourtant entre mes cuisses, je coule comme si je jouissais.
    
    La mèche du fouet s’est enroulée autour du bas de mes cuisses et frappe le creux derrière mes genoux. J’ai l’impression que mes muscles sont coupés. J’ai un vertige. Mes jambes me lâchent.
    
    Je pends au bout de mes bras crucifiés.
    
    La croix ...
    ... qui me supporte est basculée vers l’avant, jusqu’à l’horizontale. Ma poitrine pend entre les branches de bois.
    
    Lucie rassemble mes cheveux et y entremêle un long lien de cuir. Derrière moi, une main écarte mes pauvres fesses rougies. Elle me fouille, ses doigts crochent la rose de mon bijou, et tire. Je suis crispée, et elle doit forcer pour retirer mon rosebud, m’arrachant un gémissement. Un liquide froid coule sur ma rosette, puis une olive de métal pénètre sans douceur mon anus.
    
    Pas besoin de me faire un dessin, c’est un crochet anal. Kate attrape le lien de ma chevelure et le passe dans l’anneau de métal; elle tire, cambrant ma tête en arrière.
    
    — Ouvre les yeux.
    
    Et une main fine me présente une paire de pinces dentelées, reliées à des poids.
    
    Des doigts massent et malaxent mes tétons qui se gorgent de sang et s’allongent.
    
    En temps normal, j’adore ce travail des seins, mais à cet instant, je sais que ce n’est que la promesse de nouvelles douleurs. Les deux mâchoires mordent dans ma chair, étirant mes nichons.
    
    Shrac. Je perçois le craquement d’une allumette, une odeur de cire. Nora présente devant mes yeux une bougie.
    
    — Pas besoin d’explication, ma belle, me lance-t-elle.
    
    J’approuve de la tête. Puis je me laisse aller, docile. La première goutte percute sur mon omoplate gauche. La brûlure est terrible sur ma peau à vif.
    
    Les perles de cire brûlante tombent en progressant le long de ma colonne vertébrale. A chaque impact, je me cambre, secouant ma ...
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