1. M à voisine russe


    Datte: 28/08/2021, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... trouble peut expliquer que je pus escamoter tant de détails qui en un contexte normal m’eurent réveillé et émoustillé. En effet elle avait écarté à mesure les pans de sa robe. Elle portait dessous une gaine noire sexy qui ostensiblement livrait à moitié ses deux lourds seins dont on voyait pointer le dard des tétons. De même la culotte pour ce qu'on en pouvait deviner était d'une transparence indicible au point qu'on pouvait en tout ses détails considérer la chatte lisse et rasée. Cela m'étant manifestement adressé.
    
    Les bottes en fait étaient toujours ses fastueuses cuissardes que j’avais une fois entrevu dans la cage d'escalier. On eût dit les mandibules d'un insecte. En l'occurrence d'une mante religieuse qui allait là me dévorer. Mon angoisse peu à peu s'était dissiper pour laisser place à une étrange et douce lassitude. Entre temps j'avais réclamé et obtenu qu'on me versa un whisky. Elle rit à cette inconvenante Et saugrenue demande. Cependant c'était le témoignage que je reprenais mes esprits et obéissait à un instinct de mâle. Maintenant je regardais sans vergogne son corps et m'en délectais.
    
    Je sursautais un moment car depuis une minute, elle m’adressait la parole. L'alcool m’avait passablement abruti. Je n'avais pas saisi tous les mots. A peu-près me laissait-elle entendre que j’avais éventé une partie de son secret et que son mari en était passablement fâché. Il avait même pensé recourir à des moyens extrêmes pour me réduire et elle l'en avait découragé. Elle ...
    ... pensait que je n'étais pas un mauvais bougre. Que je saurais tenir ma langue même après leur départ. « N'ai-je pas raison ? » Je répondis avec une frousse sincère qu'ils pouvaient tous deux compter sur moi.
    
    Elle éclatât de rire manifestement convaincu de mon insignifiance et de ma lâcheté. Elle me demanda de m'assurer que l'autre imbécile d'harki fit de même. Entre temps elle avait commencé d'écarter en large ses cuisses et commençait à se caresser la chatte devant moi sans façon. Ses doigts au bout desquels resplendissait un vernis bleu ostensible jouaient à mesure sur les lèvres et le clito de son sexe. Ma queue durcissait jusqu'à me faire mal. Je fermais les yeux me mordant les lèvres. J’avais une envie folle de calmer ma bite. Elle lança alors. « Lâche-toi mon chéri. Branle-toi ! »
    
    Je me branlais un peu humilié tandis qu’elle souriant avait allumé une cigarette. On eût dit qu'elle tirait les fils d'un pantin que j'étais. Livré aux caprices de ses jeux. Elle n'en jeta pas moins ce compliment feint ou pas : « T'as une jolie queue chéri. » En un instant elle s'extirpa souple telle une panthère du fauteuil se coulant jusqu'à moi. Elle avait déjà prise dans sa main ma bite et la caressait. En chef de bord résolu elle prenait les commandes de l'avion. Je dus tel un de ses clients m'abandonner à elle et ses puissants talents. Elle suçât doucement et peu à peu de façon soutenue.
    
    C'était merveilleux, délicieux. J'eus cette idée sotte et étrange que je pouvais maintenant ...
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