Fin de canicule, mais il peut faire encore chaud - Histoires de Sexe

Fin de canicule, mais il peut faire encore chaud

... depuis qu’il est sorti de son cul. Il l’encourage :

— Allez, ne fait pas de simagrées !

Elle ne se décide pas. Décidant de la pousser dans ses retranchements, il insiste, se montrant, un peu contre sa nature, volontairement provocateur :

— Quand on veut être salope comme toi maintenant, il ne faut pas s’arrêter en chemin.

Elle hésite qu’une fraction de seconde, respire un grand coup et embouche le sexe de Bernard.

— Voilà, c’est bien.

Elle s’active. Il l’encourage :

— Continue, nettoie-la bien… C’est ça lèche bien… partout.

Elle fait durer avant de le faire cracher dans sa bouche. Il retire alors le plug. Il hésite un moment à lui mettre le jouet vibrant et préfère renoncer, ne sachant si trop de vibrations seraient bonnes pour Astrid.

— Voilà, c’est fait. Tu ne vas plus avoir de soucis, pour… enfin tu vois ce je veux dire.
— Oui,
— Mais dis-moi, tu avais prévu d’aller bien au-delà que le nécessaire pour régler ton petit problème psychologique.

Aurélie, l’air un peu embarrassée, bafouille :

— Eh bien… C’est-à-dire… euh… oui.
— Pourquoi ne pas avoir attendu demain et le retour de Xavier pour les extras ?
— Je n’oserais jamais demander à Xavier de… de…
— De t’enculer et la suite. Il sait que tu as vécu avant de le rencontrer, que tu n’es pas une oie blanche. Où est le problème ?
— Qu’est-ce qu’il penserait de moi !
— Tu me l’as bien demandé, quelle différence ?
— Ce n’est pas pareil.
— Pourquoi ?
— Parce que je l’aime.
— Eh bien ...

... justement, d’autant que tu aimes ça. Pourquoi te priver et le priver ?
— Non, non. Ce n’est pas possible.
— Et si c’est lui qui demandait à t’enculer, tu accepterais ?
— Si ça vient de lui, oui, bien sûr.
— En définitive tu t’es dit, puisque j’y suis, je vais en profiter et demander à Bernard ce que je n’ose pas demander au garçon que j’aime de peur que peut-être il me regarde comme trop libérée. C’est ça ?

Aurélie hoche la tête.

— Je ne comprends pas. Tu refuses à celui que tu aimes et qui t’aime ce que tu réclames à d’autres. Avec ce genre de raisonnement qui dit qu’un jour où ça te démangera, tu n’iras pas chercher ailleurs à satisfaire ton attente, pour hypothétiquement ne pas décevoir Xavier en lui avouant que tu peux avoir des désirs, comme certainement il en a.
— Jamais je…
— Pourtant aujourd’hui… C’est à se demander si ton histoire n’est pas qu’un prétexte.
— Non, non… Je te jure… Je n’y ai pensé que tout à l’heure au moment de partir.
— Je vais te donner un conseil. Tu n’as pas besoin, bien sûr, de lui dire que je t’ai enculée et même que tu as déjà été enculée. Tu peux, comme tu l’as fait pour moi, lui dire que tu voudrais essayer ça avec lui.
— Je ne sais si je…
— Mais si, tu vas le faire. Pas les premières fois si tu préfères, mais au bout de quelques jours. Pourquoi te priver et le priver.

Aurélie reste méditative quelques instants :

— Oui… oui, tu as peut-être raison.
— Bien sûr que j’ai raison. Allez, va te passer sous la douche et ...