Fin de canicule, mais il peut faire encore chaud
Datte: 24/01/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
hagé,
fagée,
couple,
extracon,
ascendant,
enceinte,
Oral
69,
fgode,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
fouetfesse,
extraconj,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... je n’ai plus de batterie. Ça ne vous dérange pas, j’espère ?
— Bonjour Aurélie. Heu… non. Entre, pas de problème, il y a ce qu’il faut.
— Merci, j’ai apporté des gâteaux.
— Merci. Va les mettre dans la cuisine, je réponds à un courriel et je suis à toi.
Aurélie va les ranger dans le réfrigérateur. En attendant que Bernard ait fini, elle commence à sortir les couverts. Elle vient à peine de finir de mettre la table qu’il arrive.
— Deux assiettes suffisent, Bernadette est à son week-end choral.
— J’en retire une.
— Je ne te propose pas d’alcool, mais veux-tu de jus de fruit en apéro.
— As-tu toujours du jus de pomme ?
— Oui, bien sûr. Allons dans le salon ce sera plus confortable.
Une fois installée à siroter, Aurélie se lance :
— J’ai un problème.
— Que se passe-t-il ?
— C’est quelque chose qui me turlupine et je n’arrive pas à en sortir.
— Est-ce que je peux t’aider ?
— Eh bien je pense que oui.
Là-dessus elle se lance dans ce qui la préoccupe depuis des jours. Il la regarde avec des yeux ronds. Et il est sidéré lorsqu’elle conclut :
— Alors j’ai fini par penser qui si tu … enfin tu vois ce que je veux dire, mon blocage disparaîtrait avec Xavier.
— Attends… Tu es en train de me dire qu’il faut qu’on baise, pour que tu puisses faire l’amour avec mon fils ! Te rends-tu compte de ce que tu dis ? Tout ça pour une idée loufoque,
— Elle n’est pas loufoque. Elle est logique.
— Enfin, une logique un peu bizarre.
— Pourquoi bizarre ? Tu ne trouves pas ...
... que c’est normal que le père soit le premier à être si proche de son enfant ?
— Le problème est quand même que tu penses à te faire baiser, à tromper en définitive Xavier, même si tu le fais en pensant à lui.
— Ce n’est pas pareil que si j’allais avec n’importe qui. Je vais avec le père de l’enfant que je porte.
La discussion se prolonge. À bout d’arguments, Aurélie éclate en sanglots, ce qui laisse Bernard désemparé, comme souvent les hommes en pareil cas. Il demande un peu bêtement :
— C’est vraiment si important pour toi ?
— Oui ! Ça me hante depuis des jours. Il faut que ça cesse. S’il te plaît.
Elle vient se serrer contre lui, comme il ne la repousse pas, elle l’embrasse. La compassion et le désir se mêlant, il craque et répond au baiser. À partir de là tout s’enchaîne rapidement. Ils se retrouvent sous la douche, puis dans la chambre d’ami, Bernard ayant toujours, malgré tout, scrupule à « œuvrer » dans le lit conjugal.
Cela commence très classiquement par un cunni qu’Aurélie apprécie toujours autant, poursuivi par un 69, qui précède les choses sérieuses. Bernard s’allonge, elle ne sent pas trop la position du missionnaire avec son gros ventre et vient s’empaler sur le la bite dressée. Il se demande en les voyant tressauter au rythme de la chevauchée, si elle apprécierait toujours de se faire malaxer ses seins gonflés. Après les avoir caressés, il les pétrit d’abord doucement, puis plus vigoureusement, les étire et les pince… Elle apprécie. Après qu’il se ...