1. Pas à pas


    Datte: 26/08/2021, Catégories: hh, fhh, hbi, jeunes, vacances, plage, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Caval, Source: Revebebe

    ... et la fourche se présenta dans l’axe de mon champ de vision, sans doute sans qu’elle en eût conscience. Je voyais ainsi nettement sa vulve, laquelle était légèrement entrouverte. Je les regardais faire discrètement, pouvant dissimuler ma brusque érection sous moi. Je finis par détourner le regard afin de faire retomber l’excitation.
    
    Je suis rapidement entré en contact avec eux. Nous colloquâmes et rejoignîmes nos bungalows au centre ensemble. Ils se prénommaient Gérard et Stéphanie. Ma rigidité était heureusement retombée, et ma pratique du yoga me permettait de me contrôler.
    
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    Le deuxième jour, nous nous installâmes à côté les uns des autres. Stéphanie alla se baigner seule. Gérard et moi la regardions s’éloigner en direction de la mer.
    
    — N’est-ce pas qu’elle est sublime, Stéphanie ?
    — Oui, c’est une superbe fille. Tu es un sacré veinard ! Remarque, elle n’a pas choisi n’importe qui. Toi aussi tu es un très beau garçon.
    — Comme toi ; c’est ce que m’a dit Stéphanie hier au soir. Attention, ce n’est pas une invitation : elle est à moi.
    — Il n’y a aucun souci, je n’ai pas l’habitude de piquer les nanas des autres, et encore moins lorsque je connais leur copain.
    
    Je lorgnais sa belle verge qui, sous l’effet de la vue du popotin s’éloignant et de nos paroles, faisait des siennes et commençait à gonfler. Il remarqua mon regard.
    
    — Pourquoi mates-tu ma queue ?
    — Je la trouve belle. Très belle.
    
    Je m’enhardis à m’approcher, à ...
    ... regarder l’instrument de plus près. Oui, un bien beau phallus, long, partiellement décalotté au repos, effilé comme une épée. À cet instant, je voyais Gérard comme un être dionysiaque doué pour la sensualité et la luxure. Il ne bougea pas. Stéphanie batifolant dans les flots, les autres vacanciers étant assez loin, je risquai le tout pour le tout et pris la verge de Gérard en main.
    
    — Mais qu’est-ce que tu fais ?
    — Laisse-toi faire.
    
    Je commençai à le branler. Il ne se débattait pas, mais lançait des paroles sans queue ni tête :
    
    — Mais… arrête. Ça ne va pas ? Oh, Marc… Non…
    
    Je continuai ma masturbation, puis vins lécher son gland que je décalottai totalement. Je pris son long zob en pleine érection dans ma bouche et fis des va-et-vient pour en extraire la quintessence de sa jouissance. Elle fut rapide, matérialisée par trois puissants jets de sperme que je reçus dans la gorge. Je me retirai alors que Stéphanie revenait vers nous.
    
    Lorsqu’elle s’approcha, elle ne s’aperçut de rien, d’autant plus que Gérard et moi nous allâmes nous baigner. Il fallait qu’il nettoie sa queue et qu’on discute un minimum.
    
    — Tu es homo ? me demanda-t-il.
    — Je suis bi : j’aime les femmes et les hommes.
    — Mais là, lorsque tu m’as sucé, c’était un truc d’homo.
    — Oui, j’avais terriblement envie de goûter à ta queue. Tu n’as pas eu l’air de détester.
    — Mais je ne suis pas pédé !
    — Ce n’est pas parce que je t’ai fait une fellation que tu es pédé, même si tu as éjaculé.
    
    Il réfléchit un ...
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