1. Pas à pas


    Datte: 26/08/2021, Catégories: hh, fhh, hbi, jeunes, vacances, plage, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Caval, Source: Revebebe

    ... peur que l’excitation de deux mâles les entraîne vers des chemins que je ne pourrais pas supporter. Déjà, avec toi tout seul c’est limite ; mais comme je t’aime et que je te fais confiance, je suis prête à toutes les turpitudes, même si parfois je dérouille ou que je trouve certaines choses crades. » Et puis elle m’a demandé si je pourrais supporter d’être à poil avec un autre mec dans le même lit.
    — Et alors ?
    — Bah, je ne sais pas. Je n’ai jamais été confronté à une situation comme celle-là. Nu sous la douche avec des mecs au sport, sur une plage avec des potes, oui. Mais me retrouver avec un mec qui bande, être en contact étroit avec lui, je n’ai aucune idée de la réaction que je pourrais avoir. Je ne pense pas que ce serait du dégoût, mais peut-être un malaise.
    — Ta copine, avant le trio avec cette fille, avait-elle déjà eu des relations lesbiennes ?
    — Oui. Elle est hétéro ; pourtant, pendant une période avant de me connaître, elle a été exclusivement gouine. Enfin, elle vivait avec une fille tout en se disant que ça ne durerait pas et qu’elle reviendrait vers les garçons.
    — Donc, avant de te lancer dans un trio avec un autre mec, peut-être devrais-tu tenter une expérience homosexuelle. Ainsi tu saurais à quoi t’en tenir.
    — Tu as peut-être raison. Je ne voudrais pas te choquer, mais je ne suis pas contre. Baiser avec un mec, c’est quelque chose qui m’a turlupiné. L’occasion ne s’est jamais présentée. Il faut seulement que je trouve un homo et qu’il veuille faire ...
    ... l’amour avec moi.
    
    Dès lors, je pouvais me découvrir et lui dire que, tout en aimant les femmes, j’aimais également les hommes.
    
    — Tu veux dire que tu es à voile et à vapeur ? me dit-il.
    — Oui, on peut dire les choses ainsi. Moi, j’ai plus l’habitude de dire que je suis bisexuel. Mais je ne vais par ergoter sur des vétilles.
    
    Il vint dans mon appartement tout en m’indiquant :
    
    — Je ne voudrais pas que nous allions trop vite.
    — Si tu veux, je peux faire comme je ferais avec une fille avec qui je veux coucher, sans l’effaroucher. De toute façon, à n’importe quel moment tu peux dire « stop » : je comprendrai que tu aies une réticence et que ça va trop loin à ton goût. Tu n’es pas là pour que je te viole. Tu es d’accord ?
    — Ça me va.
    
    Nous sommes donc restés habillés. Je l’ai pris dans mes bras, l’ai étreint contre moi, puis je l’ai embrassé. Un long baiser sur la bouche ; sa langue vint à la rencontre de la mienne. La glace était rompue. Je remarquai d’ailleurs, par la forme que prenait son pantalon, qu’il était en train de bander. Je fis courir mes mains sur sa chemise, puis sous le tissu, caressant ses pectoraux ; ses tétons étaient dressés tels ceux d’une femme. Comme il restait assez passif, j’ai enlevé moi-même mon polo. Il a alors consenti à venir poser ses mains sur moi. Elles étaient chaudes et douces, rien à voir avec certaines peaux calleuses.
    
    Lorsque je me suis attaqué à la boucle de sa ceinture, il n’a pas protesté. Il m’a même aidé à lui ôter son ...
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