1. Pas à pas


    Datte: 26/08/2021, Catégories: hh, fhh, hbi, jeunes, vacances, plage, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Caval, Source: Revebebe

    ... n’étais pas le seul homme nu, et d’autres étaient beaucoup mieux foutus que moi.
    — Oui, je ne sais pas. J’ai aimé regarder ton sexe, regarder ton corps, comme jamais je ne l’avais fait auparavant avec un homme. J’ai aimé également que tu me regardes, non comme un homme, mais comme un mâle que tu désirais. Et tu m’as touché, tu as osé ce que jamais aucun homme n’avait fait.
    — J’aime te voir nu, dis-je, j’aime ton corps, ton torse légèrement poilu, ton pubis fourni avec ta queue qui attire le regard ; qu’elle soit au repos ou dressée de désir, elle est plaisante. J’aime beaucoup également tes bourses imposantes et remplies de sperme. Tu es un être d’exception.
    — Me vois-tu seulement comme un partenaire de tes jeux sexuels ?
    — Je crois que j’éprouve pour toi bien plus qu’une attirance sexuelle, en définitive. J’ai envie de toi lorsque je te vois, lorsque tu es nu devant moi, lorsque ta verge commence à gonfler comme c’est le cas maintenant. Tu peux voir que je suis dans le même état et que mon sexe indique le désir que j’ai pour toi. Pourtant, je crois qu’il y a autre chose : un véritable sentiment, celui de me sentir bien en ta compagnie, de partager tout avec toi. J’ai envie de revenir à mon appartement après le travail et d’avoir la joie absolue de savoir que je vais passer la soirée avec toi, la nuit aussi, et chaque week-end en ta compagnie.
    — Marc, je t’aime. Je ne conçois pas de faire ma vie sans toi.
    
    Nous étions sur la même longueur ...
    ... d’onde.
    
    _____________________________
    
    Tout alla très vite par la suite. Un mois après, j’emménageais dans la maison que lui avaient laissée ses parents, à la campagne, dans le sud de la région parisienne. Je pus trouver un travail dans une entreprise de l’Yonne, toute proche. Quant à lui, il pouvait faire une bonne partie de son activité en télétravail, ne se rendant sur Paris qu’une ou deux fois par semaine.
    
    Nous voulions vivre comme un couple normal, fidèle, même si nous étions deux hommes. Cependant, nous étions bisexuels, aussi s’était-il établi un code entre nous. Si nous faisions la rencontre d’une femme, cela ne devait en rien changer nos habitudes : ce serait à elle de s’adapter à notre façon de vivre et d’accepter nos préférences sexuelles. Nous avions longuement parlé de cette possibilité :
    
    — Penses-tu, demandait Gérard, qu’une femme pourra accepter notre homosexualité ?
    — Si elle a l’esprit ouvert, elle pourra comprendre. Mais il ne faut pas que ce soit comme avec Stéphanie. Une situation d’une femme pour deux homosexuels n’est pas viable sur le long terme ; ce serait ouvrir la boîte de Pandore avec tous les maux : la jalousie, la compétition, la duplicité, la méfiance. Notre amour l’un pour l’autre ne pourrait pas résister à un tel assaut de problèmes. Il faut que nous ayons chacun une femme.
    — Tu veux dire que nous ne ferons pas de trio ?
    — Oui, pas de trio, pas d’échangisme. Si tu trouves une compagne à ton goût, tu emménages avec elle dans une partie de la maison. Si je ...