1. Educatrices Ch. 08


    Datte: 26/08/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    ... épaules musculeu-ses tenait Nicole, une petite brune, pétillante de vie, femme de médecin, par les hanches, Roland, le plus maigre, affirmait son emprise sur Odette, une blonde potelée, la quarantaine épanouie, elle aussi femme de notable.
    
    Les trois femmes, le même age, la même allure racée, faisaient visible-ment partie de la bourgeoisie du cru, on les imaginait plus facilement au bridge, les cartes à la main que dans un bouge la queue des trois gail-lards qui les accompagnaient en pleine bouche.
    
    Silencieusement, sans enthousiasme, visiblement sous la contrainte, el-les se dévêtirent, ce qui permit immédiatement à leurs admirateurs de constater que si Claudine était une vraie blonde, Nicole une brune natu-relle, Odette, elle, était décolorée, son sexe châtain en témoignait clai-rement.
    
    A leur tour, les garçons quittèrent leurs jeans et leurs tee-shirts.
    
    Les trois jeunes femmes découvrirent avec stupeur la conformation par-ticulière de Michel et Rachid.
    
    Michel était doté d'un sexe mafflu, qui s'il était normal par sa longueur, était effrayant de grosseur.
    
    Hypnotisée, Fabienne y porta la main pour en vérifier la réalité, sa main refermée était loin d'en faire le tour, d'un diamètre avoisinant celui d'une bouteille de "Heineken" ce qui lui valait d'ailleurs ce surnom, elle reposait telle une grosse courge violacée sur deux grosses oranges poilues.
    
    Rachid, s'il présentait un ustensile d'une grosseur normale, bien que su-périeure à la moyenne, frappait ...
    ... surtout par la longueur invraisemblable de son long cylindre noir, une vraie queue de mule qui pointait agressi-vement vers les intimités dévoilées.
    
    A cette vue, les trois femmes sentirent des picotements au fond de leurs vulves, les trois invitées, certainement habituées à leurs conformations, n'y prêtait guère attention, évaluant d'un oeil furtif les trois virilités qui, elles le savaient, se glisseraient bientôt dans tous leurs orifices.
    
    Sans un mot, Michel s'allongea et attira Fabienne à lui, elle était effrayée à l'idée d'engloutir cette monstruosité dans sa chatte.
    
    Les autres couples les entourèrent, curieux de voir comment elle s'y prendrait pour se prêter à l'effraction qui la guettait.
    
    Avec effroi, Fabienne décida de prendre les initiatives, à défaut de vase-line, ou de pommade, elle enduisit le gros cylindre de sa salive, puis de la pointe des doigts, elle se graissa abondamment la fente, se barbouil-lant le méat, de son jus enfonçant ses doigts le plus loin possible dans son conduit pour plus l'assouplir.
    
    Elle ne pouvait retarder plus le moment fatidique, le dos au sol, Michel l'empoigna aux hanches, l'installa à l'aplomb de son vit animalesque, puis lentement il la descendit sur son pieux tendu.
    
    L'énorme courge buta sur la vulve, lui écrasant les lèvres, malgré la tar-tine de cyprine lui beurrant la chatte, il n'arrivait pas à s'introduire dans le chas crispé par l'appréhension.
    
    Il la releva avec douceur, et soudain avec une violence inouïe l'empala ...
«12...567...10»