Educatrices Ch. 08
Datte: 26/08/2021,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica
L'EDUCATRICE
Coulybaca - Texte personnel.
Tous les jeunes participant physiquement à l'action sont âgés de plus de 18 ans.
Chapitre 8 : Echanges
La prise de possession des lieux se fit sans coup férir, le vaste apparte-ment, entièrement aménagé pour la vie en semi-autonomie réservait une vaste salle de loisir commune, une cuisine salle à manger confortable et six chambres meublées de vastes lits.
Il était conçu pour servir de sas transitoire entre la vie surveillée de l'IME et l'autonomie totale de l'extérieur.
Une chambre était aménagée pour recevoir l'éducateur chargé d'aider les jeunes sortants dans leurs démarches et la gestion de leur vie maté-rielle.
Dans l'esprit des chefs, cette chambre accueillerait l'éducatrice de ser-vice.
L'infirmière qui demeurait à proximité y séjournerait aussi bien que de façon moins soutenue, puisqu'elle pouvait rester d'astreinte chez elle.
De toute manière c'était aux trois volontaires de gérer leur emploi du temps, mais en aucun cas les jeunes ne devaient rester hors de surveil-lance.
Toujours dans leur esprit, les trois aînés seraient à même d'y prouver leur débrouillardise et leur capacité à s'autogérer sous contrôle bienveil-lant.
La consigne donnée aux éducatrices était de les laisser agir le plus pos-sible, de n'intervenir qu'en cas de conflit ou d'abus flagrant.
Dans ce but, eux mêmes ne feraient que de rares visites de façon à lais-ser les situations se nouer et se dénouer de la façon la plus ...
... naturelle.
Ils avaient beaucoup appréciés ce tandem d'éducatrices, qui sans vio-lence, sans éclat, avait si bien réussi à maintenir ces jeunes jusqu'ici sources de multiples problèmes dans un chemin qu'ils pensaient pavé de bonnes intentions.
Chacun prit possession de sa chambre, en fonction de la disponibilité de leurs maîtresses.
Ils conçurent un planning leur permettant de toujours avoir à leur disposi-tion trois femelles, se débrouillant même pour pouvoir profiter des quatre à la fois deux soirées par semaine.
Elles mirent sur le compte de l'entraide et de la solidarité cette activité qui les chassait souvent de leur foyer, les maris ne pipèrent point, et la vie s'organisa suivant les normes qu'avaient fixées les jeunes.
Quel que soit l'heure du jour, elles devaient être nues ou porter des te-nues suggestives propres à exciter la convoitise de leurs amants, aucun voile ne devait protéger l'accès de leurs trous toujours disponibles.
Toutes quatre, à force de parader en bas, porte-jarretelles, voiles arach-néens, se trouvaient excitées en permanence, la cyprine coulait à flot de leurs moules lascives.
Le cul graissé en permanence elles étaient toujours prêtes que ce pour une étreinte hâtive sur le bord de la table, ou pour une possession à plu-sieurs dans la douce tiédeur des couettes de lit.
Il arrivait même souvent que deux d'entre elles s'aiment sous les yeux des trois jeunes investissant simultanément les trois orifices de la délais-sée.
Deux ...