Christiane et Claude les parents de mon pote Jean-Louis (6) - Histoires de Sexe

Christiane et Claude les parents de mon pote Jean-Louis (6)

... la caresse qu’elle était en train de me prodiguer, j’avais un peu honte de m’offrir ainsi à ma copine de fac. Quand elle a décidé qu’elle allait revenir s’asseoir sur mon sexe, j’ai pu constater que l’intrus qui m’avait pénétré était un stylo quatre couleurs. Elle avait été chercher mon stylo sur mon bureau, je peux vous garantir que ce stylo, que je ne le regarderai plus de la même façon désormais. Elle était de nouveau en train de me faire du bien, en se baisant toute seule comme une grande. Moi je n’étais qu’un prestataire fournisseur d’une gaule qui lui convenait. En fait à chaque fois qu’elle se laissait retomber sur mon sexe, elle me faisait un peu mal car elle retombait aussi sur mes boules, j’ai trouvé la parade en écartant largement mes jambes. Je me suis permis de prendre une initiative en allant caresser sa poitrine à travers son pull, manifestement elle avait sans doute un caraco très très doux en dessous, sans doute de la viscose.

Je sentais sa poitrine ferme et la pointe de ses seins érigées, Sophie aimait faire l’amour. À ma grande honte je n’ai pas pu me retenir et je suis parti au plus profond de ses entrailles, heureusement pour moi Sophie m’a suivi de quelques secondes. Nous pouvions dire que, nous venions de prendre notre pied en même temps. Elle a réussi à s’allonger sur moi, en gardant mon sexe caché dans son intimité, et c’est ainsi que nous avons pu nous embrasser avec passion. Cela me faisait drôle de voir ma partenaire dans cet état, moi qui la ...

... connaissais timide et réservée à la fac ; en fait Sophie était une bête de sexe. Voilà vingt minutes que Sophie était là, nous n’avions pas fait un seul bruit, excepté le grincement du matelas et du sommier. J’espère que ma mère n’était pas à t’écouter à la porte, car elle n’aurait eu aucun doute quant à l’activité secrète que nous étions en train de pratiquer. Sophie est restée de longues minutes allongée sur moi, à m’embrasser mais surtout avec mon sexe emboîté en elle, puis elle a décidé que l’opération était terminée.

À ma grande surprise, quand il a été question de se rhabiller, elle m’a fait enfiler sa culotte poisseuse et elle a récupéré la culotte de Christiane.

« Il va y avoir du mélange de cyprine dans cette culotte, rien qu’à y penser, cela va m’exciter.»

Quelle que soit la culotte, mon sexe toujours en érection n’aurait pas pu être dissimulé dans cette pièce de tissu, donc je faisais en sorte de savamment le ranger pour ne pas qu’il dépasse trop. Sophie était elle aussi en train de se rhabiller, je la voyais se caresser la moule avec la culotte de notre prof de maths bénévole. Une fois rhabillée, elle m’a laissé bête car elle est carrément repartie, en m’ayant tout de même embrassé et fait un petit touche-pipi. En gros Sophie était venue s’envoyer en l’air avec moi, avant de repartir immédiatement, une fois l’opération terminée. J’avais vraiment l’impression d’être devenu son sex-toy, je n’ai même pas eu le temps de rouspéter de la façon dont elle m’avait ...