Christiane et Claude les parents de mon pote Jean-Louis (6) - Histoires de Sexe

Christiane et Claude les parents de mon pote Jean-Louis (6)

Salut c’est votre folle de lycra

Sophie et moi venions de quitter le domicile de Christiane, qui était censée nous donner des cours, mais en fait nous nous étions envoyés en l’air tous les trois. Ma copine Sophie, qui me servait surtout d’alibi, était aussi un super coup au lit, je vais vous avouer que je ne la regarderai plus de la même façon. Jamais je n’aurais cru que Sophie soit à ce point active dans les parties de jambes en l’air. Nous avons fait un bon bout de chemin ensemble avec Sophie, nos regards étaient complices et nous nous tenions main dans la main à la fin, au moment où nos routes se sont séparées. En tant que galant homme, je voulais la raccompagner chez elle, mais elle m’a dit que je sentais quand même très fort le sexe, et que cela aurait été suspect auprès de ses parents. J’étais un peu gêné qu’elle me dise ça, mais en même temps cela m’a fait sourire. De mon côté quand je suis rentré à la maison, je me suis vite dirigé vers la salle de bain pour me passer le visage sous l’eau.

J’ai juste eu le temps de m’essuyer la figure avant que ma mère arrive et pour savoir comment s’était passé mon cours avec la mère de mon copain. Je lui ai expliqué que maintenant nous étions deux avec ma copine Sophie et que tout s’était bien passé.

« Je suis content mon chéri, j’espère que cela va te permettre de faire des progrès en classe. Il faudra qu’on invite les parents de Jean-Louis à la maison pour les remercier de leur générosité et surtout du dévouement de la ...

... part de Christiane pour toi.»

Pendant que ma mère me parlait, je sentais encore les odeurs de minou et je n’arrivais pas à m’en séparer. Pour la première fois de ma vie je ne regardais plus ma mère de la même façon, elle était en train de me parler et moi je m’imaginais en train de lui faire des choses, car pour ne rien gâcher, maman était très belle.

« Ne m’en veux pas mon fiston, je t’ai attendu mais je suis fatiguée, je vais aller me coucher.»

Ma mère m’a fait un gros bisou sur le front et à ma grande surprise, elle m’a laissé un peu de rouge à lèvres.

Bien que la fatigue me tire vers le lit, cela a été plus fort que moi, il a fallu que j’aille fouiller dans le bac à linge sale, pour récupérer une culotte de maman pour m’endormir avec. Elle n’était plus humide, mais on devinait encore les traces de cyprine au niveau de l’entrejambe, j’en avais l’eau à la bouche de poser ma langue dessus, pour en découvrir la saveur. Quand je parle de m’endormir, en fait la culotte je m’en suis servi pour entourer mon sexe avec, la douceur était vraiment formidable et augmentait mon érection. Avec toutes ces odeurs sous les draps, je n’ai pas été bien long à jouir de la petite branlette que je venais de me faire. J’ai essuyé toute la liqueur qui se trouvait sur mon ventre avec la culotte de maman, puis je me suis endormi épuisé par cette journée. Bien évidemment, toute la nuit j’ai dormi sur la béquille et cette dernière était en pleine forme au petit matin. Ce fameux matin, ...