1. Bébert entre en scène


    Datte: 24/08/2021, Catégories: fh, fhh, copains, hotel, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral fdanus, attache, yeuxbandés, vengeance, occasion, fsoumisah, Auteur: Mariechriss, Source: Revebebe

    ... la caressent doucement pour faire naître en elle de nouvelles sensations.
    
    — Ma douce Marie-Claude, je vais m’occuper de toi maintenant car moi aussi j’ai envie de jouir figure-toi et tu es très bandante. Tu vas voir, je suis en super forme et j’espère que toi aussi, ma queue n’est pas prête d’être satisfaite totalement. Je m’en régale d’avance. Mais avant, il faut que tu reprennes quelques forces pour être à la hauteur.
    
    Avec des gestes lents, il détache Marie-Claude mais lui intime l’ordre de garder son bandeau. Ne l’enlever sous aucun prétexte sinon la punition serait terrible et, pour bien se faire comprendre, il lui prend fermement les deux tétons entre ses doigts mais sans trop les serrer. Marie-Claude frissonne, elle a compris la menace.
    
    — Tu as compris ce qui t’attend ?
    — Oui, oui Jean, mais t’es un salaud tu sais.
    — Bon ça suffit, viens t’asseoir là pour prendre un bon petit déjeuner.
    
    Il la prend par la main pour la guider et la fait asseoir devant un plateau qui sent bon. Marie-Claude ne se fait pas prier, et, à tâtons, elle prend un à un les gâteaux, les boissons qui se trouvent devant elle et, un quart d’heure après, elle est repue et désaltérée. Un petit rot conclut ce repas, preuve de sa qualité !
    
    — Amène-moi aux toilettes s’il te plaît, un besoin urgent.
    
    Jean s’exécute et Marie-Claude revient en suivant le mur d’une main.
    
    — Jean, tu es où ?
    — Je suis là, j’arrive.
    
    Mais c’est la main de Bébert qu’elle saisit et il l’entraîne vers la ...
    ... douche pour la laver un peu. Quand Marie-Claude entend l’eau couler, elle a un geste de recul mais Jean la calme aussitôt.
    
    — Eh du calme, ce n’est qu’une douche. Tu en as besoin, si tu te voyais.
    
    Bébert et Jean sont nus aussi et Marie-Claude est mise sous le jet d’eau dont la température est idéale. Deux mains la savonnent avec adresse et elle sent revenir en elle les prémisses de nouveaux plaisirs, elle s’abandonne à ses mains qui savent si bien l’émouvoir. Ses seins, son sexe, ses fesses, son cul, rien n’est oublié et elle apprécie tout cela après cette matinée si rude et si forte en émotions. Son sexe est mouillé de liqueur féminine, pas de savon. Deux doigts fouillent doucement son intimité et elle se laisse faire. Elle écarte largement ses cuisses et les deux doigts sont remplacés par une langue experte qui parcourt sa fente et son clitoris.
    
    — Ah Jean, c’est bon tu sais, je bande, je suis inondée, j’ai envie de ta queue en moi, viens mon amour viens, prends-moi là sous la douche.
    
    Bébert sourit car c’est lui qui lutine Marie-Claude, pas Jean. Il bande dur comme fer et il a bien envie de se glisser dans la fente de celle qui le fait languir depuis des semaines. Mais, c’est encore trop tôt, alors il se place devant elle et la force à baisser la tête pour qu’elle lui suce la queue. Marie-Claude s’en empare goulûment, elle a faim de sexe, elle veut des coups de queue, elle veut se faire défoncer par une queue, c’est plus fort qu’elle, alors elle se tourne et présente ...
«1...345...8»