1. Bébert entre en scène


    Datte: 24/08/2021, Catégories: fh, fhh, copains, hotel, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral fdanus, attache, yeuxbandés, vengeance, occasion, fsoumisah, Auteur: Mariechriss, Source: Revebebe

    ... l’appui.
    — Arrête, j’ai du mal à te croire, je n’en connais pas de ce style. Ma Marie-Claude peut-être, du moins c’est le sentiment que j’en ai.
    
    Jean sourit.
    
    — Fais-moi confiance, lui dit-il. On y va ? Mais pas un bruit.
    
    Les deux hommes traversent la suite et vont dans la chambre des plaisirs. Bébert aperçoit une femme de dos, solidement attachée, dans une position bandante à souhait, et autour de laquelle de petits chatons s’affairent pour enlever la crème chantilly qui recouvre une partie de son corps. Le corps de la femme est agité de soubresauts, de spasmes nerveux et elle gémit, halète, vibre. Son corps est parcouru de frissons, de vibrations.
    
    — Non de non, qu’elle est belle comme cela, murmure Bébert à l’oreille de Jean.
    — Pas mal oui, mais tu n’as pas tout vu, viens.
    
    Jean entraîne Bébert dans la pièce et ils font le tour du corps, objet de tant de plaisirs refoulés. Le découvrant de face, Bébert s’immobilise, tétanisé sur place par la surprise. Sa main se porte à sa bouche pour étouffer un cri de surprise et il sent sa queue qui réagit pour lui. Elle devient dure et son jeans le gêne. C’est pas possible, c’est pas elle… Si, bon dieu de bon dieu ! Son regard interroge Jean qui sourit à son ami. Il entraîne Bébert dans la salle de bain et il lui demande :
    
    — Alors c’est bien ta Marie-Claude ?
    — Ah oui, c’est bien elle, comment t’as fait pour la maîtriser, moi je rame depuis deux mois et rien, pas possible.
    — Mon charme naturel, lui dit Jean en ...
    ... rigolant. Non, plus sérieusement, on a passé un marché. Elle voulait la suite pour une petite fête avec un copain dont c’est l’anniversaire demain, mais elle n’avait pas les moyens de se la payer. Alors elle me paye en nature. Et j’avoue que je suis comblé depuis deux jours.
    — Putain, je suis con, j’aurais dû la forcer un bon coup, mais bon on ne se refait pas. Je suis un gentil, moi. Un copain tu dis, tiens, je ne suis pas au courant.
    — Ma foi, c’est sa vie aussi, mais tu vois, tu vas être récompensé, elle ne sait pas que tu es là et je lui ai bandé les yeux pour être sûr qu’elle ne te reconnaîtrait pas. Si tu ne dis rien, tu peux en user et en abuser sans qu’elle le sache et reprendre ta vie avec elle après. C’est le top du pervers non ?
    — Toi alors, t’es le mec le plus pervers que je connaisse, mais ton idée me plaît beaucoup. Je la prends et, elle aussi !
    
    Les deux compères rigolent et sortent de la salle de bain. Que la fête soit belle !
    
    Marie-Claude est toujours soumise aux caresses des langues félines et ne s’est rendu compte de rien. Les yeux bandés, les sollicitations permanentes de son sexe, de ses pieds, de ses seins sur lesquels un chaton s’est perché, les muscles qui lui font un peu mal, la faim qui la tenaille et la soif aussi, elle n’est plus à même de saisir ce qui se passe en dehors de tout cela. Mais, elle sent que quelqu’un s’approche d’elle et retire un à un les chatons. Une voix, celle de Jean, lui susurre des mots doux à l’oreille pendant que ses mains ...
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