1. Un chien qui s'ignore 20


    Datte: 23/08/2021, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Auteur: perver38, Source: xHamster

    ... l’accouchement. J’avais la nausée et j’étais maintenant tremblant de frissons d’épuisement.
    
    J’étais à moitié conscient quand elle m’adressa la parole. Elle se tenait devant moi, triomphante. Elle s’était cette fois équipée de la bite noire gigantesque. Les sangles serraient sa combinaison moulante et maintenaient cette bite en place. Le gland énorme pendait au niveau de ses genoux. Elle me regardait en lubrifiant toute la bite de gel.
    
    ‘Alors ça t’excite hein cette grosse bite de black ? Tu es en manque non, Rex chien à bites ?’
    
    ‘Allé je vais t’enlever ton suppositoire et je vais te ramoner tout ça’
    
    La bite rouge se mit à tourner en sens inverse et me libéra doucement.
    
    Je n’eus pas le temps de souffler que la bite forçait mon œillet qui devait plutôt ressembler à un tournesol…
    
    La bite coulissa en terrain conquit dans un premier temps. J’étais sidéré que mon cul offre un boulevard pour une telle dimension.
    
    Je sentis les mains de maitresse Ophélie qui prenaient position sur mon bassin. Je m’étais trompé, la bite n’était entrée que de quelques centimètres !
    
    Maitresse Ophélie faisait maintenant des vas et viens et s’insinuait de plus en plus profond. Des bruits de suintement du gel marquaient ...
    ... chaque pénétration. Des flots de liquides douteux coulaient sur mes cuisses.
    
    Elle accélérait le rythme. Mon rythme de mon halètement se calquait sur ses soubresauts.
    
    Elle accélérait encore et me pénétrait à grand coups de reins.
    
    Son ventre et ses cuisses tapaient maintenant sur les miennes. J’étais empalé par son pieu qui coulissait librement dans son tunnel. Je sentis à nouveau un spasme de liquide s’écouler de mon sexe.
    
    Je suffoquais la bouche ouverte, les yeux retournés.
    
    Elle était essoufflée mais m’enfonçait sa bite démoniaque avec toujours la même puissance et le même rythme. Je n’étais plus que chair autour de son gourdin enculeur
    
    ‘Que c’est bon de te voir… engloutir toute… cette bite. Tu es vraiment …fait pour ça. Tu la sens ?...C’est comme ça …que tu disais…hein ? Tu la sens …ma grosse…bite ?’
    
    Elle éclata de rire.
    
    Elle ressortit sa bite et me le refourra à fond, puis recommença. Et ainsi de suite. Je ne sentais plus la bite me saillir, mais mon ventre se remplir quand elle arrivait en butée. Un trou à bite rien de plus.
    
    Je perdis la notion du temps et je ne me concentrai plus que sur ma respiration, j’étais dans un état second.
    
    Elle fini par se lasser de moi et me libéra du pieu. 
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