1. Un chien qui s'ignore 20


    Datte: 23/08/2021, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Auteur: perver38, Source: xHamster

    ... déguster !’
    
    Elle caressait l’engin de son autre main.
    
    Un long silence. Je ne quittais pas des yeux l’engin.
    
    ‘Après ça, on fera une pause. Pour que tu apprécie la situation. Et puis quand l’explorateur aura bien fait sa place, je m’amuserai avec son copain.’
    
    Elle posait la bite rouge et sortit de la mallette une bite noire d’une dimension effrayante équipée d’un harnais
    
    ‘Je vois qu’elle te plait aussi ! Nolwenn m’a dit que tu aimais les grosses bites dans ton cul ! Une comme ça, je ne pense pas que t’en ai déjà vue. Allé, on va bien s’amuser.’
    
    Elle se relevait maladroitement et se redressa sur ses deux jambes. Elle emmenait la mallette avec elle et se retrouva face à mon cul offert.
    
    Je remuais de panique dans mes attaches. Elle me badigeonnait copieusement du gel sur et dans l’anus. Je sentis tout de suite le bout de la bite rouge s’inviter dans mon intimité.
    
    ‘Quel cul de chienne tu as : même après plusieurs semaines de repos, il t’engloutit cette bonne bite sans frémir’
    
    ‘Allé c’est parti mon Rex, en route pour le forage !’
    
    Je sentis le filetage qui forçait mon sphincter ou ce qu’il en restait. La bite tournait sur elle-même et m’écartait méthodiquement mes parois. Je n’en pouvais déjà plus et soufflais comme une forge. Maitresse Ophélie me traitait de tous les noms et ne s’arrêtait que semble t-il pour remettre du gel lubrifiant.
    
    La bite me possédait et avançait. Mon ventre se tordait sous l’invasion. J’avais la nausée.
    
    Des gouttes ...
    ... de sueurs coulaient sur mon visage, mes cuisses tremblaient en permanence. Je sentais ma vessie se vider. Ma prostate devait faire de même. J’ouvrais la bouche en grand à me démonter les mâchoires pour crier ma douleur, ma peur, mais ne sortait qu’un ridicule couinement éraillé. Cela ne faisait que plus rire maitresse Ophélie qui enfonçait toujours plus loin ce pieu destructeur.
    
    J’étais dans un état second au bord de l’évanouissement, quand je l’entendis annoncer qu’elle utilisait la manivelle. Mon ventre n’était plus qu’un amas de chair autour de ce mat qui faisait sa place en moi. J’étais empalé comme au moyen âge. Mais non, l’engin tournait encore et m’écartelait les fesses, grossissant et grandissant sans cesse. Je m’attendais à entendre mes chairs se déchirer, mon ventre se répandre au sol. J’haletais par la bouche, mon cœur tapait à mes oreilles. Mon corps entier dégoulinait de sueur. Je perdis connaissance.
    
    Maitresse Ophélie me lançait des gifles pour me réveiller de manière à ce que je profite du spectacle.
    
    ‘Je te préviens, tu nettoieras toutes tes salissures avec ta langue, jusqu’à ce que le sol brille, sale vermine !
    
    J’eus la force ou l’instinct de survie d’acquiescer de la tête, posée sur le banc.
    
    ‘Tu vois vilain toutou tu les as bouffés tes 40 cm de bites !
    
    Bien, je vais me reposer. Tout ça m’a donné chaud.’
    
    Je l’entendis s’assoir plus loin et allumer une cigarette.
    
    J’essayais de ne faire de bruit et calmer mon allaitement de femme à ...