L'ivresse des sens
Datte: 22/08/2021,
Catégories:
fh,
ffh,
fplusag,
asie,
frousses,
couple,
médical,
bizarre,
campagne,
train,
amour,
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Voyeur / Exhib / Nudisme
Transexuels
Masturbation
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Oral
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fantastiqu,
Auteur: Balou, Source: Revebebe
... Annie me présenta Sabine, son amie, ancienne actrice de cinéma. Elles se ressemblaient, avec leur petit nez en trompette. Sabine portait sa robe en crépon beige clair. Elle me souriait. Dan le barman nous servit nos verres. Annie et Sabine buvaient lentement leur martini dry tandis que moi je dégustais ma pétillante bière blonde.
Où étais-je, quel était ce train ? Ces interrogations se mélangeaient à mon observation des passagers qui nous accompagnaient. J’avais la nette impression de me retrouver au début du vingtième siècle, du moins à l’époque des années folles.
— Alors, mon cher Balou, vous êtes bien silencieux, me lança Sabine. Sa voix cristalline m’électrisa.
— J’admire les boiseries de ce bar, et je me laisse bercer par votre charmante compagnie, répondis-je, trop rapidement à mon goût. .
Nous étions assis autour d’une table ronde, une sorte de guéridon. Le paysage bordelais continuait de défiler par la fenêtre du wagon.
— Tu sais, Sabine, Balou est un grand timide.
Mon amie avait lancé cette affirmation tout en déposant sa main droite sur ma cuisse. Je sentis la chaleur de ses doigts à travers le tissu du pantalon. Sabine se rapprocha également à ma droite. J’étais maintenant entouré par ces dames. À son tour l’ancienne actrice me caressa l’autre cuisse.
— Nous allons vous masturber, Annie et moi, voulez-vous ?
Un grand blanc. Je me sentis rougir. La sueur perlait à mon front.
— Ne soyez pas effrayé, très cher, vous êtes dans le train du ...
... plaisir. Cette chère Annie vous offre le voyage vers le Merveilleux, susurra Sabine à mon oreille.
Puis elle glissa sur moi et m’embrassa à pleine bouche. Sa langue me viola le palais. Son haleine alcoolisée me pénétra également. Je sentis les doigts de ces dames me déboutonner rapidement. Les deux femmes ôtèrent ma veste. Ma chemise fut déboutonnée tout aussi vite.
— Levez-vous, ordonna Sabine. Docilement je m’exécutai. Elle me regardait comme si j’étais une bête de foire. Elle me déshabilla complètement, ses mains dansaient sur mon corps, ses doigts palpaient mes muscles. Une érection violente me submergea.
Au bout de quelques secondes, je me retrouvais nu, assis devant un guéridon et entouré par les deux femmes dont les mains enserraient ma hampe. Mon érection violente continuait de poindre puissamment entre leurs doux et chauds doigts. Je frissonnais de plaisir.
— Tout va bien, Monsieur ?
Dan se tenait devant moi, vêtu de sa queue de pie, sa chevelure blonde étincelait.
— Désirez-vous une autre bière ? poursuivit-il.
— Euh non, non merci. Tout va bien, éructai-je.
C’était surréaliste, dingue. Il avait dû remarquer mon état, mais par courtoisie il ne dit rien. Annie poussa la table. Sabine s’agenouilla devant moi. D’autorité elle écarta mes cuisses velues. Ma verge tressautait maintenant à quelques centimètres de son visage.
— Sabine va te pomper, mon chéri, et je sais que c’est un de tes très vieux fantasmes, non ?
Annie ! Comment savait-elle que ...