1. L'ivresse des sens


    Datte: 22/08/2021, Catégories: fh, ffh, fplusag, asie, frousses, couple, médical, bizarre, campagne, train, amour, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Transexuels Masturbation intermast, entreseins, Oral pénétratio, fsodo, hsodo, attache, fouetfesse, délire, fantastiqu, Auteur: Balou, Source: Revebebe

    PROLOGUE
    
    Un matin, Annie avait rendez-vous sur le quai de la gare avec Balou, pour une destination inconnue. Elle avait décidé de lui réserver une surprise. Pour cette raison, elle s’était habillée d’une jupe noire fendue sur le côté, de longs bas suggérant au-dessus de la dentelle un petit bout de chair juste dans le haut de la fente de la jupe. Un maquillage léger, un chapeau à voilette, de longs gants, un chemiser décolleté juste de quoi faire vagabonder l’esprit. Le miroir lui renvoya une vraie femme, et elle sourit dans cette glace, sourire coquin ou sourire câlin ?
    
    Elle regarda sa montre, à la fois impatiente et heureuse de le revoir après une si longue absence. Dans le passé ils ont été amants. Lui, bel homme, à la belle allure, d’une grande douceur, intelligent, et aussi coquin qu’elle. Ce qu’elle préférait chez lui ? Ses mains, ses cheveux, et surtout ses adorables fesses.
    
    Autrefois, et il le savait, elle était très très gourmande d’un festin, auquel ils aimaient être conviés, ou que l’un et l’autre aimaient s’offrir avec tellement de sensualité. Sur ces pensées, elle se dit qu’il était temps de se rendre en vitesse à la gare si elle ne voulait pas rater le train, mais en consultant sa montre elle présuma qu’elle allait à nouveau arriver en retard.
    
    Il était là, sur le quai, faisant impatiemment les cent pas.
    
    Comme il est beau, se dit-elle. Rapidement, elle se reprit, ne voulant pas qu’il puisse voir combien elle était heureuse de le revoir. Son cœur ...
    ... cognait dans sa poitrine. Ils étaient là, face à face, et machinalement elle lui tendit la joue pour un rapide baiser amical. Le train d’ailleurs arrivait en gare.
    
    — Mais où donc m’entraînes-tu, ma chère amie ?
    — Une surprise, une surprise !
    
    Je la regardai et éclatai d’un rire salvateur et coquin pendant que le train se mettait en route.
    
    PREMIERE PARTIE
    
    Ah, Annie ! Cette femme, je ne peux l’oublier. Son chapeau à voilette, sa jupe fendue, noire comme l’ébène, ses longs gants cachant ses poignets étaient d’infinis atours qui la rendaient si désirable. Nous étions de vieux amis. Cette soirée était une exquise surprise. Les hommes portaient manteaux et smokings, les femmes chapeaux et toilettes des années folles. Le train également était tout droit sorti d’un vieux film en noir et blanc. La locomotive à vapeur ajoutait encore à l’ambiance du passé.
    
    Dans mon costume gris, je me faisais l’effet d’un dandy. Je déteste ressembler à un pingouin sur la banquise, d’où ma sainte horreur des smokings. Je regardais Annie. Elle était si joyeuse.
    
    Jadis nous avons été amants. Je me rappelais nos corps à corps enflammés quand nous explorions divers chemins nous menant à la jouissance. Son initiation à la sodomie était et reste encore un souvenir inaltérable. Je me souviens de ses cris lorsque progressivement le gland violet de ma hampe avait débuté la lente pénétration de son pertuis de Sodome. Ses fesses, oui ces deux globes chauds et doux, je les avais pétris avec passion ; ...
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