1. L'ivresse des sens


    Datte: 22/08/2021, Catégories: fh, ffh, fplusag, asie, frousses, couple, médical, bizarre, campagne, train, amour, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Transexuels Masturbation intermast, entreseins, Oral pénétratio, fsodo, hsodo, attache, fouetfesse, délire, fantastiqu, Auteur: Balou, Source: Revebebe

    ... voisin qui avait murmuré cette phrase. L’homme était blond, cheveux courts, presque en brosse. Son visage était étonnamment ridé, ses lèvres étaient violettes. Dan ! C’était le barman du train. Je faillis avaler de travers la purée verte.
    
    — Elles vous vident de votre énergie lorsque vous dormez, continua mon compagnon. Écoutez la nuit les hurlements, vous verrez.
    — Ne l’écoutez pas, il devient sénile.
    
    Je regardai la femme qui avait prononcé ces paroles. Elle était jeune, Asiatique. De longs cheveux noirs tombaient sur son peignoir blanc. La trentaine tout au plus, elle mangeait avec entrain.
    
    — On a toujours faim au début du traitement, continua Dan. Puis il se leva et quitta la table.
    — Bonjour. Je m’appelle Fleur.
    
    La jeune femme me tendit une petite main que je serrai tendrement. Elle était douce, des ongles bien coupés terminaient les petits doigts.
    
    — Balou. Pour vous servir, jeune fille, répondis-je.
    
    Fleur éclata de rire. Elle avait une voix charmante, gaie et chantante comme toutes les Asiatiques. Elle m’apprit qu’elle était amnésique. Cela faisait presque six mois qu’elle habitait ici, mais personne ne lui rendait jamais visite.
    
    — De quoi parlait-il, notre voisin ?
    — Venez avec moi. Nous nous baladerons dans le parc, je vous expliquerai ça.
    
    Nous déposâmes nos plateaux et quittâmes le self. Je suivais la jeune femme tout en admirant les formes rondes qu’on devinait à travers l’éponge du peignoir. Je n’avais pas pris le mien, ma tunique blanche ...
    ... suffisant amplement à calmer la légère fraîcheur de ce début d’après-midi. Le parc était entouré de pins, je ne distinguais pas l’horizon. La bâtisse qui abritait les pensionnaires était strictement identique au château médocain. J’étais perdu dans mes pensées. Fleur et moi nous marchions à présent pieds nus sur la pelouse verte.
    
    — J’adore me promener ainsi dans l’herbe, c’est si doux, si sensuel, vous ne trouvez pas ?
    — Si, si. C’est toujours mieux que de porter ces horribles pantoufles bleues. Mais dites-moi, vous deviez m’expliquer ce dont parlait Dan à table.
    
    Les médicaments m’abrutissaient. J’avais du mal à me concentrer sur ce que me racontait ma charmante Chinoise. Sa voix bourdonnait à mes oreilles. Thérapie… Extases… Jouissance… Bien-être… étaient les mots que je captais encore.
    
    — Vous allez bien, Balou ?
    
    XXX
    
    L’homme s’écroula dans l’herbe. La jeune Chinoise ne s’affola pas. Elle s’assit sagement aux côtés de Balou. Puis elle remonta sa tunique. Ses yeux brillaient. Elle posa sa petite main sur le sexe endormi, avança son visage et déposa un baiser sur le gland circoncis.
    
    — Hum, je sens qu’on va bien s’entendre, petit homme.
    
    Fleur s’agenouilla au-dessus de Balou, elle ôta peignoir et tunique. Le soleil l’illuminait. Elle laissa ses mains courir sur sa poitrine ronde, ses doigts pincèrent les tétons caramel. L’autre main pétrit ses petites fesses. Fleur gémissait, son sexe désirait follement Balou. Elle le voulait en elle, le sentir la limer entre ...
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