Comment je suis devenue salope
Datte: 22/08/2021,
Catégories:
Masturbation
Hardcore,
Première fois
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... soirée, il m’a glissé un bout de papier dans la main en cachette. C’était son adresse mail.
Trois jours plus tard, on s’est retrouvés dans sa voiture, à la sortie de la ville, dans un chemin. On a baissé les sièges et je me suis foutue à poil. Je me suis empalée sur sa bite, sans capote, pendant qu’il me suçait les tétons en me cramponnant fermement les fesses.
Il m’a dit que j’étais une belle salope et je lui ai répondu oui.
Il a déchargé dans ma bouche quelques minutes plus tard et nous nous sommes retrouvés d’autres fois, dans ce chemin, pour baiser. Ma collègue, sa compagne, n’en a jamais rien su.
Ma vie sexuelle avec Antoine était assez normale et classique. Disons qu’on baisait environ deux fois par semaine, le mardi et le vendredi, parfois le samedi, selon nos emplois du temps et nos envies. On le faisait souvent devant des films pornos qu’on choisissait sur Internet, en buvant des apéros. Il était fréquent qu’on sélectionne des films avec des histoires d’adultères, et ce choix ne venait pas de moi, mais bien d’Antoine.
C’était paradoxal, me direz-vous. Mais qu’y a-t-il de plus paradoxal que la nature humaine ? Antoine aimait voir des femmes tromper leurs conjoints sur notre écran d’ordinateur, mais il n’aurait pas supporté d’apprendre que je le trompais dans la réalité. C’était ainsi.
Un autre paradoxe résidait dans les tenues qu’il aimait m’offrir, à Noël, pour mes anniversaires, ou d’autres fois sans raisons. Il aimait que je porte des bas, ...
... des sous-vêtements transparents, des jupes courtes… Mais tout ceci pour son unique plaisir. Sauf que depuis qu’il me faisait des scènes, je m’étais mise à calculer mes tenues et les positions que j’allais prendre lors de soirées passées avec des amis, ou n’importe où ailleurs. Et ça me plaisait.
Sa jalousie m’a poussée à devenir salope.
Je me suis mise à le tromper avec des hommes qui ne faisaient pas partie de notre cercle de connaissances.
Nous n’avions pas du tout les mêmes horaires de travail. Je finissais tôt et il rentrait souvent tard. Je disposais ainsi de plages horaires propices pour, par exemple, bouquiner sur des terrasses de troquets (et me faire offrir des verres par des inconnus), porter des jupes très courtes et marcher dans les rues du centre-ville (et me laisser aborder), ou encore me faire défoncer le cul dans des voitures par Ludo ou Micka que je voyais régulièrement.
Tout ceci a duré une année environ. Je ne sais pas combien de mecs je me suis tapée sur cette période. Au moins vingt, dont certains que j’ai revus plusieurs fois. J’ignore devant combien d’inconnus je me suis mise à poil, entre 17h et 21h, en pleine semaine, chez eux ou dans des voitures garées à la sortie de la ville.
Je me suis même retrouvée plusieurs fois avec deux mecs. Un que je suçais pendant que l’autre me sodomisait.
A trois reprises, j’ai couché avec Micka et sa nouvelle nana qui était assez ouverte d’esprit.
Puis j’ai fini par faire venir des hommes dans ...