1. Comment je suis devenue salope


    Datte: 22/08/2021, Catégories: Masturbation Hardcore, Première fois Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    Je vivais avec Antoine depuis moins d’une année lorsqu’il a s’est mis à montrer des signes de possessivité et de jalousie. Tout a commencé le soir des 30 ans d’Elodie, une amie de fac. D’autres anciens étudiants de notre promo étaient présents. Antoine s’est vite senti mis à l’écart, puisqu’il ne connaissait presque personne et que je discutais de mon côté. Nous étions au moins quarante dans le gîte qu’Elodie avait loué pour l’occasion. Il y avait un grand buffet froid et nous buvions, nous parlions, nous riions, et à un moment donné, je n’ai plus vu Antoine. J’ai cru qu’il était sorti fumer une cigarette, mais son absence a duré. Alors je suis sortie et je l’ai cherché dans le grand jardin qui entourait le gîte. Quand j’ai fini par le trouver, il était assis seul sur un banc, dans la pénombre, à fumer une cigarette. Il était peut-être minuit et j’étais un peu éméchée.
    
    Quand je lui ai demandé ce qu’il faisait là, il m’a répondu à peu près ça :
    
    « Ne t’embête pas pour moi, tu as l’air de bien t’amuser. »
    
    Je me suis assise à côté de lui et j’ai dit :
    
    « Ben oui, c’est agréable de retrouver des amis. »
    
    « Des amis et des exes, non ? »
    
    « Pourquoi tu dis ça ? »
    
    Il a soufflé un nuage de fumée et répondu :
    
    « Parce que je t’ai vu avec le mec, là, le grand brun. Vu votre proximité quand vous discutez, tu as eu une histoire avec lui à cette époque, non ? »
    
    « Mais quelle proximité ? »
    
    « Arrête, dit-il. Je t’ai vu poser ta main sur son genou quand tu ...
    ... éclatais de rire. Je t’ai vue le faire au moins trois fois. Ce qu’il te disait avait l’air super drôle. »
    
    « Tu vas me faire une scène, là ? »
    
    Il a remué la tête, l’air agacé, et répondu :
    
    « J’aurais mieux fait de ne pas venir… »
    
    « Oui, peut-être. Tu t’imagines des trucs. »
    
    « Je n’imagine rien, je t’ai vu faire, c’est tout. Tu as bu et tu ne surveilles pas tes gestes. Et puis cette robe que tu as choisie, c’est un peu limite, non ? On voit que tu portes des bas. »
    
    J’ai baissé les yeux vers ma cuisse gauche, celle où ma longue jupe était fendue. Et on voyait effectivement que c’était des bas que je portais, pas un collant.
    
    J’ai relevé la tête et dit :
    
    « Tu veux qu’on rentre ? »
    
    « Reste, dit Antoine. Moi je vais rentrer. Amuse-toi. Je ne serai plus là pour t’emmerder, ni pour assister à tes comportements. »
    
    « Tu te fais des films, dis-je. »
    
    « Ouais, c’est ça… »
    
    « Viens plutôt discuter avec nous. »
    
    « Non, je n’ai rien à dire à ces personnes, c’est tes amis, pas les miens. Je vais rentrer à pieds. »
    
    Il s’est levé et je lui ai dit :
    
    « Mais il y a cinq kilomètres… »
    
    « Ne t’inquiète pas pour moi. Retourne t’amuser avec tes exes. »
    
    Il s’est éloigné, sans m’avoir embrassée. Je n’ai pas cherché à l’empêcher de partir, ni à le ratt****r. J’ai regagné la salle où se trouvaient tous mes amis et j’ai pris un verre de kir.
    
    Effectivement, j’avais eu des relations avec trois mecs qui étaient là, dont deux qui n’avaient duré qu’un seul soir. Avec ...
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