1. Traversée de la France en voiture


    Datte: 22/08/2021, Catégories: copains, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral jeu, Auteur: Réciproques Idées, Source: Revebebe

    ... qu’elle, mais bel et bien assuré.
    
    Je reprends du poil de la bête :
    
    — Mais je préfère encore la première fois qu’on l’a refait… avec cette excitation de l’interdit.
    
    À ces mots, l’étincelle qu’il y avait dans ses yeux quelques secondes auparavant se transforme et je perçois dans son regard cette espèce de voile symptomatique chez elle qui dit : « Là, je suis grave excitée ».
    
    « C’est maintenant ou jamais », voilà ce qui traverse mon cerveau lorsqu’elle relance la conversation :
    
    — Tu sais, ils ne sont plus aussi petits qu’avant… avec les deux grossesses, j’ai pris un peu des seins… des fesses aussi malheureusement.
    — Oh ça, c’est pas vrai ! est ma réaction un peu trop spontanée.
    — De quoi ?
    — Euh… est lamentablement ce qui sort de ma bouche
    — Qu’est-ce qui n’est pas vrai ? insiste-t-elle
    
    Pas d’échappatoire possible, je dois me lancer :
    
    — Bah que tu as pris des fesses…
    — Ah bon, et comment tu sais ç…, ne parvient-elle pas à terminer, me lançant un regard dans lequel on peut lire une fausse indignation.
    
    Face à mon silence, elle continue à m’assener ses questions directes et déstabilisantes :
    
    — Non ! Ne me dis pas que tu m’as matée ?
    
    Mon silence et mes yeux qui fuient son regard sont pour elle la plus limpide des réponses. C’est à ce moment-là que je comprends que ce voyage va nous réserver quelques moments que nous n’oublierons pas de sitôt, car elle poursuit :
    
    — Et ça t’a plu ?
    — J’ai beaucoup aimé oui, et ça m’a rappelé des souvenirs, ...
    ... telle est la réponse que je prononce lentement pour tenter de cacher le petit truc qui s’est déclenché dans mon bas-ventre et qui fait grandir mon intérêt pour cette conversation. D’ailleurs, je regrette presque que tu sois en pantalon, là, à ce moment précis, dis-je avec un regain d’assurance, tout en jetant un coup d’œil ostensible à sa cuisse recouverte de tissu.
    
    Elle suit mon regard et répond, avec une assurance et un aplomb qui en disent très long :
    
    — Ça peut s’arranger, ça.
    
    Je reste de marbre extérieurement, mais cette déclaration termine de me chambouler et l’érection de tout à l’heure me reprend de façon beaucoup plus violente. Elle continue sur sa lancée :
    
    — Je me suis habillée un peu chaudement ce matin, vu l’heure à laquelle on partait. J’ai un peu chaud là, peut-être que je pourrais passer une tenue plus appropriée.
    
    Il est vrai que l’on approche de 13 h et, arrivés du côté de Lyon, le temps s’est grandement réchauffé. Nous décidons de sortir à la prochaine aire qui ne tarde pas à pointer le bout de son nez. Une aire de pique-nique, sans station-service. De toute façon, nous n’avons besoin de rien. Elle ouvre le coffre, fouille dans un sac, en sort quelque chose et se dirige vers le bâtiment des toilettes. Moi, pas du tout nerveux et excité, j’en profite pour allumer une clope que je termine en trois bouffées.
    
    Lorsqu’elle sort du bâtiment et revient vers la voiture, c’est l’été qui a fait son apparition : elle porte une petite robe à fleurs très ...
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