1. Une charmante compagne de voyage


    Datte: 21/08/2021, Catégories: fh, inconnu, bus, train, douche, intermast, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, attache, journal, mélo, occasion, Auteur: Filo, Source: Revebebe

    ... sur moi et fait coulisser mon sexe dur entre ses fesses.
    
    Je me lève et l’amène sur le canapé afin qu’elle s’y mette à quatre pattes. Elle tend sa croupe pour mieux faire apparaître son petit trou. Je lui masse les fesses pendant que je reproduis avec ma langue la caresse que nous sommes prodigués l’un l’autre la veille au soir. Elle colle son postérieur sur mon visage pour m’inciter à aller plus loin. Quand je la sens prête, je m’empare de la boîte de préservatif et en enfile un.
    
    Une fois équipé, je pose mon membre à l’entrée de son œil rose tout humide. Je pousse un peu et mon gland commence à s’enfoncer jusqu’à disparaître entièrement. Chaque centimètre de ma verge de plus dans son beau derrière arrache à ma partenaire un gémissement qui va crescendo. Doucement, j’en arrive à être totalement en elle. Je sens la chaleur brûlante de son sexe délaissé contre mes bourses. Je me recule lentement puis je m’avance à nouveau, puis à nouveau encore, de plus en plus vite, de plus en plus profond. Ses gémissements se transforment en cris de plaisir. Mes assauts se font plus violents, ce qui a pour effet de faire cogner le canapé contre le mur. Mes mains lui tiennent fermement les hanches mais elle imprime le mouvement autant que moi en se cambrant et reculant en rythme. Elle hurle autant pour elle que pour moi : «Oh! Putain que c’est bon ! Baise moi bien le cul, j’aime trop ça !».
    
    Je quitte ses hanches pour remonter mes mains le long de son dos. De la gauche, je me saisis ...
    ... de ses cheveux que je tire en arrière en prenant bien garde de ne pas lui faire mal pendant que la droite la saisit par l’épaule. Un «Oh oui ! Vas-y !» me rassure sur son consentement. Ses cris redoublent encore alors que son orgasme monte autant que le mien. Mes mains viennent alors se poser fermement autour de son cou. Je ne compte pas l’étouffer et encore moins l’étrangler, je vous rassure. Je souhaite seulement lui donner l’impression d’être ma captive, mon esclave sexuelle. Elle apprécie visiblement autant que moi la situation car nous atteignons l’extase simultanément.
    
    Nous restons emboîtés ainsi, contentés. Elle se redresse pour poser son dos contre mon torse. Je lui caresse le ventre et la poitrine pendant que nous nous embrassons langoureusement et que sa main vient me cajoler les cheveux. Je finis par me retirer d’elle et vais jeter le préservatif à la poubelle de la cuisine avant de me laver les mains dans l’évier. Lorsque je me retourne, Mélanie est en train de se rhabiller.
    
    — J’ai regardé sur mon Smartphone en me réveillant : j’ai un train dans une demi-heure, explique-t-elle devant mon air surpris.
    — Oh… J’espérais que tu restes un peu. Voire que tu ne partes que demain, dis-je en essayant de cacher ma déception.
    — Mon pote m’attend. J’étais déjà censée arriver hier, fait-elle en finissant de mettre ses vêtements.
    — Ok. Je saute dans un pantalon et je t’accompagne à la gare, comme promis.
    — Tu n’es pas obligé.
    — Ça me ferait plaisir. Et toi ?
    — À moi ...
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