Une charmante compagne de voyage
Datte: 21/08/2021,
Catégories:
fh,
inconnu,
bus,
train,
douche,
intermast,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
attache,
journal,
mélo,
occasion,
Auteur: Filo, Source: Revebebe
... faisant une pipe, ajoute-t-elle avec un clin d’œil. Mais tu dormais trop profondément.
Elle me montre alors ce qu’elle tient dans sa main : un sac en papier dont le fond devenait transparent à cause du beurre suintant de viennoiseries à l’odeur alléchante ainsi que qu’un autre, arborant la croix verte des pharmacies. Je m’inquiète en silence de la présence de ce dernier.
— Des croissants pour le petit déj’, fait-elle en me tendant le premier sac. Et ça pour après, ajoute-t-elle en me tendant le deuxième.
— Des capotes ? Pourquoi faire ?
— Tu me dois toujours une sodo. J’en ai encore envie. Et comme monsieur ne veut pas en faire sans capote, voilà !
— Tu lâches pas l’affaire, toi ! Et tu veux pas que je te baise le cul pendant que tu manges ton croissant pendant que tu y es ?
— Ne mélangeons pas tous les plaisirs, répond-elle, hilare, à ma pique.
— D’abord le petit déj’, alors. Je me suis tapé un super coup, hier soir. Elle m’a donné une de ces dalles.
— Ah oui ? Toi aussi ? Marrant, ça !
Le café est prêt. J’ai envie de la voir nue pendant le repas. Elle accepte si je respecte la réciproque. Je lui demande :
— Tu restes longtemps au Croisic ?
— Je ne sais pas. J’ai prévu d’y rester au moins une semaine. J’ai un copain qui a une résidence secondaire là-bas. Je vais l’aider à la retaper.
— Tu t’y connais ?
— Je suis bricoleuse. Je m’occupe un peu de l’électricité et de la plomberie.
— C’est macho, mais je pensais que tu allais me parler de déco et de papier ...
... peint.
— Ah ah ! C’est pas ta faute, t’inquiète ! Je sais que c’est pas répandu. Mais je vis seule en campagne et j’ai appris à me débrouiller.
— Tu viens d’où ?
— Un bled en Eure-et-Loir. On m’a retiré mon permis il y a deux semaines. Je ne te raconte pas la galère pour venir en transports en commun.
— On pouvait pas t’amener à la gare ?
— Je préfère éviter. Je m’entends bien qu’avec les mecs du village et leurs femmes n’aimeraient pas qu’ils me rendent service.
— Ça doit pas être facile d’être une bombe dans un petit bled.
— Arrête, va !
— Je comprends mieux que tu sois célibataire, du coup.
— Vas-y, termine ta phrase : et que tu sois en manque et donc une grosse chaude du cul !
— Ça me fait penser : on passe à la suite ?
— Oui ! fait-elle ravie.
— Tu aimes à ce point ?
— J’adore ! Je sais que c’est pas le cas de toutes les filles. Ni même des mecs, d’ailleurs ! Mais je sais pas : j’aime bien me donner totalement.
— Allez ! Trêve de bla-bla. Viens me montrer ce joli petit cul.
Elle se lève, fait le tour de la table et me tourne le dos. Son cul n’est pas petit. On peut même le qualifier de gros mais il est magnifique : ferme malgré sa taille et fort bien dessiné. Un beau gros cul, en fait ! Elle le fait remuer devant moi alors que je suis assis sur ma chaise, toujours nu. Elle ondule son corps en une danse sensuelle. De temps à autre, elle se cambre et sa fente apparaît. Je l’effleure du bout des doigts alors que je brûle d’y goûter à nouveau. Elle s’assied ...