Un train peut en cacher un autre
Datte: 20/08/2021,
Catégories:
train,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Auteur: Rigolletto, Source: Revebebe
... l’intérieur. Julie avait les yeux rivés sur cette pénétration.
— Embrasse-moi, demanda-t-il.
Elle plaqua sa bouche contre la sienne sans retenue, les yeux grands ouverts. Elle sentait son anus se contracter autour se son doigt, sa queue vibrer dans son autre main et sa langue s’enfoncer dans sa bouche. Jamais elle n’avait caressé un homme aussi pleinement, aussi complètement. Elle sentait le plaisir qu’il ressentait. Toujours accroché à la vitre, il avait saisi une de ses fesses de sa main droite comme un naufragé se jette sur une bouée de sauvetage. Il ne la caressait pas, mais se tenait à elle pour ne pas chavirer dans l’orgasme.
— Je vais jouir, arriva-t-il tant bien que mal à articuler.
— Je sais.
Sans dire un mot de plus elle recolla sa bouche sur la sienne et continua ses caresses sur le même rythme. Elle frottait à présent son pubis contre ses hanches et le branlait le plus régulièrement possible. Elle était terriblement excitée, mais voulait avant tout qu’il jouisse lui, comme un cadeau. Le comprenant, Michel ne se retint pas plus longtemps. Il laissa monter de son bas ventre le plaisir et la semence chaude. Au sortir d’un dernier mouvement de bassin, le majeur de sa belle au fond de ses entrailles, Michel sursauta comme électrocuté et son sperme dessina des volutes opaques sur la vitre au logo de la SNCF « A nous de vous faire préférer le train »…
Ils laissèrent durer leur baiser un long moment. Julie retira son doigt avec précaution. Ils ...
... s’embrassèrent de nouveau, debout dans les bras l’un de l’autre. C’était un baiser plein de douceur, de sucre et de miel. Michel la regardait et ne savait pas comment lui dire. C’était la première fois qu’on l’avait fait jouir ainsi. Elle, si jeune, si fraîche, lui avait fait découvrir un plaisir qu’il ne soupçonnait pas aussi intense. Comprenait-elle ? Pouvait-il lui expliquer ?
Tranquillement, ils remirent un peu d’ordre dans leurs tenues et s’installèrent toujours blottis dans les bras l’un de l’autre. Le moment était silencieux et magique. Ils auraient pu s’endormir comme des enfants, mais ils étaient dans un train et peu de temps après… le contrôleur passa. Il les regarda à peine, poinçonna leurs billets et ressortit en laissant la place à un « homme d’affaires » très grand et les épaules fuyantes qui s’installa sur la banquette en face. Il faisait un peu démodé. Pas vraiment vieux ou ringard, mais juste un peu coincé dans son costume passe-partout, gris et à peine assez grand. Lorsque l’homme s’était assis, Julie s’était un peu redressée dans une posture plus « convenable »
Michel revenait à la réalité. À chacun de ses voyages professionnels, il en voyait des dizaines comme lui. Quelconque, presque standard, en retard le matin et fatigué le soir. Dans les mêmes trains et les mêmes avions, ils avaient tous les mêmes costumes sombres, les mêmes ordinateurs portables, les mêmes problèmes « informatiques » Les mêmes regards sur les fesses féminines et la même allure pathétique ...