Chroniques d'un parc public – partie 2
Datte: 22/05/2018,
Catégories:
Gay
Voyeur / Exhib / Nudisme
Inceste / Tabou
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... sucer la bite. Je venais tout juste de la ressortir de la chatte de sa femme. Il m’a regardé d’un air à la fois complice, à la fois très sérieux, puis il a tendu ses doigts vers mes couilles. Il les a d’abord effleurées, caressées, puis, voyant que je le laissais faire, il s’est mis à me les malaxer. Ensuite, il a approché sa bouche de mon gland, puis il m’a sucé. Pendant ce temps, tout près de moi, Corinne se faisait baiser par un autre homme. Je suivais des yeux cette bite qui allait et venait dans cette chatte, tandis qu’une langue très humide était en train de s’enrouler autour de mon gland. Il bavait dessus, tout en me touchant toujours les couilles, et moi je me surprenais à bander autant que si ç’avait été la langue d’une femme.
J’ai déchargé dans sa bouche.
De même, dans les clairières perdues au milieu de petits sous-bois, le froid n’empêche pas des femmes de venir se faire sauter par des hommes qu’elles connaissent plus ou moins.
Seules ou accompagnées, il y en a que l’on est à peu près certain de retrouver aux mêmes endroits et aux mêmes heures, sauf si vraiment il fait très mauvais temps. Ça ne dure alors jamais aussi longtemps qu’aux beaux jours, mais toujours suffisamment pour se faire plaisir. Le plaisir consistant pour ma part à mater, à me faire sucer, à pénétrer une chatte et à éjaculer en voyant d’autres hommes faire la même chose à mes côtés. Et ceci quel que soit l’âge des femmes en question, mais avec une nette préférence en revanche pour les ...
... plus jeunes que moi.
Dans ce registre-là, il y avait Kim et sa rondouillette de copine, une fois tous les quinze jours environ, mais il arrivait à d’autres étudiantes de venir trainer dans les secteurs où des rendez-vous avaient lieu.
Ainsi, un jour en plein hiver, il y a deux mois de ça, je me suis retrouvé nez à nez avec une assez jolie fille, toute vêtue de noir, dans un sous-bois de sapins. Il avait neigé quelques jours avant, et tout n’avait pas encore fondu. Et je me souviens du contraste que j’ai perçu immédiatement, entre la neige qui persistait au sol et la tenue aux dominantes sombres de l’étudiante qui s’est arrêtée de marcher à quelques mètres de moi en me voyant.
Je me suis dit aussitôt : une gothique.
J’en avais déjà croisé quelques-unes aux abords de la fac ou dans les rues du centre-ville, et je m’étais toujours étonné de leur accoutrement : manteaux noirs, pantalons noirs moulants, grosses godasses noires, cheveux noirs, t-shirts noirs à têtes de mort, etc. Sans compter la collection de piercings que celle-ci avait réparti sur son visage, au bord de ses oreilles, et le nombre de grosses bagues à ses doigts.
En la voyant, je lui ai donné 20 ans.
Elle en avait 22.
Elle se faisait appeler Moon.
J’ai d’abord cru qu’on allait simplement se croiser en se saluant à peine, mais elle m’a demandé du feu et nous nous sommes mis à discuter, entourés de troncs d’arbres aussi sombres que ses vêtements.
Je n’ai jamais su son véritable prénom, et je ...