Quinze jours ailleurs
Datte: 19/08/2021,
Catégories:
fh,
fhh,
plage,
amour,
massage,
intermast,
Oral
pénétratio,
fdanus,
occasion,
Auteur: Julos, Source: Revebebe
... Bientôt elle n’est plus qu’un long rugissement puissant, qu’un ventre, qu’un sexe déchaîné.
Jamais elle n’a été ainsi parcourue, bourrée, pleine à craquer de la sorte. Quand il l’emplit, elle soulève son abdomen et le projette au-devant du sexe de l’homme pour qu’il la laboure jusqu’au fond.
Peu à peu il accélère, déclenche une houle qui la saisit et qui enfle encore davantage quand il lâche les chevaux de ses reins. Il accélère et lance une sorte de sprint infernal. Elle pousse de violents cris, ses belles jambes se soulèvent et battent l’air avant d’enserrer le dos de l’homme pour une chevauchée sauvage alors que son bassin se cabre en coups de reins désordonnés et furieux. Quand le type s’effondre sur elle en lâchant en elle de longs jets de sperme et en rugissant à son tour, elle a un hurlement qui accompagne le spasme violent de tout son vagin.
Elle gît sur le lit depuis plusieurs minutes, inanimée, sans force, vidée maintenant, inondée de sueur, les cuisses encore écartées et le sexe béant. Elle n’a jamais été baisée de la sorte. Mario se penche vers elle et lui murmure à l’oreille :
— Ma vengeance t’a plu ?
Elle sourit et acquiesce de la tête.
— Excusez-nous pour l’éjaculation, mais c’était si fort, fait Romain.
— Au contraire, réussit à murmurer Danièle.
Après un temps elle reprend :
— J’aime quand les hommes explosent en moi. Vous, vous aimez bien qu’une femme le fasse au bout de votre queue !
Et elle pense déjà qu’elle fera tout pour ...
... revoir Romain.
Le retour de Gérard mit fin à cet intermède dans lequel beaucoup de choses avaient changé pour elle. Elle avait abusé copieusement de son corps, avait connu en quelques jours plus d’émotion et de plaisir que durant toute sa vie passée et tout naturellement ce corps merveilleusement sollicité avait épuisé pour un moment sa réserve de désirs.
Il aspirait au repos, ses sens s’étaient taris momentanément, du moins jusqu’au moment où l’abstinence ferait lentement son œuvre et se muerait en nouveau besoin. On ne peut pas dire que Danièle prît subitement conscience de la convoitise qu’elle provoquait chez les hommes. Elle le savait depuis longtemps et cela la gênait plus qu’autre chose.
Son aventure de l’institut, qui date maintenant de plusieurs semaines, a modifié ce sentiment. Elle s’aperçoit que, dans certaines circonstances, les marques de désirs, qu’elle devine aisément dans le regard de beaucoup de types, ne lui déplaisent pas bien au contraire. Elle les prend comme un hommage à sa beauté, à la perfection de son corps, beauté et perfection dont elle n’a jamais vraiment profité avant cette aventure.
Le soir de son retour son mari a voulu la baiser. Elle s’est laissé faire. L’absence de plaisir n’a pourtant provoqué aucun déplaisir chez elle. De fait elle aime bien, bien davantage qu’autrefois, elle s’en rend compte, qu’un type, fut-ce son mari, la déshabille, la tète, la pelote, extériorise son désir, dresse vers elle ce pieux de chair impatient, ...