1. Quinze jours ailleurs


    Datte: 19/08/2021, Catégories: fh, fhh, plage, amour, massage, intermast, Oral pénétratio, fdanus, occasion, Auteur: Julos, Source: Revebebe

    ... sperme jaillit en jets saccadés à un mètre.
    
    — Tu bats tous les records de jet de sperme, dit-elle.
    
    De retour de la plage, alors qu’ils arrivent en vue de la ville, il lui demande de venir prendre un verre, l’un des derniers peut-être à l’Institut. Évidemment elle ne refuse pas malgré la fatigue de la nage et de l’après-midi passé à s’activer dans l’eau et le sable. Mario se gare devant l’établissement. Ils descendent de la voiture et se dirigent bras dessus bras dessous vers la porte à l’arrière du bâtiment que Mario ouvre avec une simple clé sortie de son porte-monnaie.
    
    Il allume quelques lampes et marche vers le bar encore fermé dont il éclaire un coin. Danièle pose ses belles fesses sur l’un des hauts tabourets et attend son café en souriant à son amant, tout en se disant que déjà ils forment une sorte de couple. Elle s’étonne de la disponibilité de Mario qui doit bien avoir une copine attitrée. Elle a préféré jusqu’ici ne pas poser la question. Il lui sert le café et glisse une bière sur le comptoir dont il fait le tour pour rejoindre Danièle. Il se hisse sur le tabouret voisin de la jeune femme.
    
    — À propos, lui dit-elle, j’attends toujours ta vengeance.
    
    C’est à ce moment qu’un type plutôt grand, très bronzé, sort du couloir du fond. Il s’avance vers eux pour saluer Mario et, par la même occasion, Danièle.
    
    — Salut, Romain ! fait Mario. Tu sors ?
    
    Le type annonce qu’il va acheter l’Équipe dans le quartier et qu’il revient.
    
    — À tout à l’heure ! fait ...
    ... Mario.
    
    Le type lui répond par un clin d’œil.
    
    Danièle pense, pendant ce temps, qu’elle devait se rendre chez la couturière en début de soirée.
    
    — Pour la vengeance, tout viendra en son temps fait Mario. Peut-être très bientôt, peut-être plus tard.
    — Pas trop tard, quand même, fait-elle en lui souriant. Les vacances se terminent.
    
    Il s’approche d’elle lui caresse la nuque, laisse glisser sa main le long de la bretelle du soutien-gorge et passe un doigt sous le bonnet le plus proche. Il ne peut de cette manière atteindre ce qu’il vise. Il fait glisser la bretelle le long de l’épaule et du bras, fait de même à la seconde bretelle en se penchant derrière son dos.
    
    — Qu’est-ce que tu fais, demande-t-elle ?
    — Tu ne devines pas ? J’ai envie, dit-il. Tu veux bien ?
    
    Elle répond qu’elle est un peu fatiguée et qu’elle doit passer chez sa couturière.
    
    — Tu iras demain chez ta couturière. Tu ne vas pas dire que tu n’as rien à te mettre !
    
    Finalement elle cède. Ils terminent chacun leur boisson. Il se lève, la prend au passage par la main, la fait se lever et la tire vers le fond de la salle.
    
    — Tu m’as bien excité à te balader à poil tout l’après-midi devant moi, dit-il.
    — Pourtant j’ai fait ce qu’il fallait pour te soulager.
    — Tu vois, ça n’a pas suffit.
    — Tu m’emmènes où ? demande-t-elle.
    — On arrive, ma belle.
    
    Il ouvre une sorte de chambre dont il allume les appliques. Une douce lumière rouge colorie chaudement les murs et les choses. Elle s’affale mollement ...
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