1. Quinze jours ailleurs


    Datte: 19/08/2021, Catégories: fh, fhh, plage, amour, massage, intermast, Oral pénétratio, fdanus, occasion, Auteur: Julos, Source: Revebebe

    ... arrivant du travail, s’est maquillée avec soin, s’est longuement préparée pour se vêtir de presque rien : un soutien-gorge pigeonnant laissant émerger les mamelons, une sorte de tablier de tulle transparent, la couvrant jusqu’à mi-cuisses devant, découvrant son derrière revêtu d’un string, l’arrière des cuisses et les mollets. C’est ainsi vêtue qu’elle le reçoit.
    
    Il sonne. Elle se dirige lentement vers la porte, s’assure par le judas que c’est bien lui, ouvre. Il lui apporte deux roses. S’ensuivent les remerciements d’usage sous forme d’un baiser.
    
    Lui, la complimente pour sa beauté et sa savante mise en scène. Il la fait tourner sur elle-même et lui dit à l’oreille qu’elle a un beau cul.
    
    Il s’assoit sur le canapé. Elle va-et-vient pour le service. Elle a oublié des tas de choses dans la cuisine et cela lui donne autant d’occasions de virevolter devant lui, d’exhiber ce qu’il a appelé son beau cul.
    
    Elle penche vers lui pour remplir sa tasse et faire fondre le sucre à la petite cuillère. Il a ainsi tout le loisir de lorgner les seins qui ne tiennent dans leurs bonnets que par une sorte de miracle.
    
    Ensuite elle s’assoit près de lui, entame une conversation sans importance. Elle lui dit qu’il a vraiment un boulot intéressant ma foi et qu’il doit fréquenter pas mal de femmes. Il est d’accord mais ce n’est pas ce qu’elle croit cependant.
    
    Elle lui caresse les cheveux. Il la laisse parler, l’écoute lui raconter un ou deux événements de son boulot.
    
    Puis subitement ...
    ... elle se lève et vient s’asseoir sur les genoux de l’homme. Il pose une main sur ses beaux seins. C’est dommage de les cacher à moitié. Ils sont magnifiques. Il défait le soutif. Les seins libérés pendent tels des fruits lourds.
    
    Elle lui dit :
    
    — Ils sont à toi, baise-les.
    
    Et il les baise, il les soupèse, les pétrit, masse le bout qui durcit. Elle ferme les yeux, son bas ventre ronronne déjà. Les mamelons sont érigés. Il les enveloppe, les pétrit. Elle est comme engourdie et lourde, elle jette la tête en arrière, respire rapidement, la bouche entrouverte.
    
    Quand il sent qu’il faut varier les plaisirs, il la fait se lever, se lève à son tour et l’adosse au mur. Elle s’abandonne à sa bouche qui descend sur le ventre. Il lèche la peau. Il va passer ses mains sous le tissu léger qui ne cache plus rien lorsqu’elle se tourne, lui offre l’autre face d’elle-même, à nouveau appuyée au mur comme si elle comptait les secondes pour une partie de cachette.
    
    Il voit le dos au dessin délicat qui s’amincit jusqu’à la taille. Il peut enfin détailler la croupe. Elle porte un string si fin que le lien arrière disparaît, invisible entre les fesses comme s’il y avait là une invitation à la découverte des trésors parmi lesquels il se cache.
    
    Pour l’instant il n’y touche pas. Il plaque ses mains bien ouvertes aux hanches, aux fesses qui sont telles que du pain blanc, globes de chair ferme qu’il ne parvient pas à contenir. Il lui répète en relevant la tête :
    
    — Tu as vraiment un beau ...
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