Un quiproquo qui tombe à propos.
Datte: 15/08/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
cocus,
hotel,
vengeance,
facial,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
Partouze / Groupe
attache,
confession,
Auteur: Roby, Source: Revebebe
... de la fenêtre se sont transformées en miroir. D’en face on doit avoir une vue parfaite sur la chambre.
« Chéri, regarde par la fenêtre ! Regarde ta femme ! Regarde la Vieille, la frigide ! Tu ne la reconnais pas ? Pourtant c’est bien elle, tu l’as souvent vue à genoux pour que tu la prennes en levrette, position que nous aimions tous les deux. Regarde-la bien, le cul offert à celui qui… Oui regarde, il arrive. Non, ce n’est pas lui, c’est son copain. Il me lèche le cul, glisse la langue dans mon orifice étroit. Toi, tu ne me l’as jamais fait. Tu aurais dû, c’est bon, très bon. C’est chaud, humide. Mais moi aussi je me vois. La salope qui attend le mâle c’est moi. Celle qui appuie maintenant sa tête contre le drap, creusant encore plus les reins pour montrer sa croupe.Mais tu dois dormir. Ta pouffiasse, ta jeune pute a dû te vider les couilles, mais j’espère que tu as trouvé mon sac de voyage abandonné dans l’entrée. Alors tu ne dors pas. Enfin j’espère, que tu te questionnes, tu t’inquiètes. Maryse est revenue, mais où est-elle ? Nous a-t-elle vus ? Merde… Merde.Mais elle est là ! Salaud, juste en face ! Et elle, tout un hôtel est à sa disposition. Oh que ma vengeance est belle. Tiens, il arrive. Il monte sur le lit. Il va se placer derrière moi… Mais non, il ne s’agenouille pas, il me surplombe et les jambes fléchies, descend vers moi, sa longue tige pointée par sa main.Il est délicat et finalement mon anus lui cède facilement le passage. Alors il s’accroupit un peu ...
... plus, encore, encore et bientôt sa longue tige disparaît totalement.C’est bien ta femme qui fait « Oh », mais c’est un « Oh » de satisfaction. Tu vois, salope jusqu’au bout.Allez dors. Laisse-moi. Sinon je vais me sentir coupable. Je te raconterai demain. »
Sa queue est en moi. J’en sens la présence, la dureté. L’homme parle. Je ne comprends rien, mais les intonations semblent positives.
— Que dit-il ? Je demande à son amant qui est à côté et regarde.
— Il dit que tu es étroite.
L’autre continue son monologue. Il est passé en mode « va-et-vient ». La fenêtre, décidemment miroir de mon indécence, de ma débauche, me montre une scène obscène.
L’engin coulisse. Il sort parfois, aussitôt redirigé par la main de son maître pour retrouver la chaleur de mes entrailles. À chaque fois je m’inquiète et je me sens vide.
— Il dit que tu as un cul de jeune fille et que c’est dommage que tu sois une femme. Mais il te trouve si naturelle, si sensible, si belle, que cela l’excite.
Pour l’exciter, je l’excite. Mais il n’est pas le seul. Moi aussi, je sens comme une chaleur dans mes entrailles. Une chaleur indéfinissable d’autant que l’homme se fait plus fort, plus invasif et que ses mouvements perdent leur délicatesse.
Des gouttes de sueur tombent sur mon dos. Il halète de ses mouvements. Cela doit être difficile d’enchaîner les flexions, mais cependant ne ralentit pas son rythme.
Je ne peux retenir des gémissements, mais vraiment c’est bon. La fenêtre me renvoie mon image ...