L'université : de la soumission à la consécration (10)
Datte: 13/08/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: donico, Source: Xstory
... qu’ironique ce retour en enfance, mais ça ne me suffit toujours pas. Je veux posséder ma mère.
Je délaisse alors son sein, puis je l’embrasse sur la bouche, chassant Nico qui l’occupait toujours. Elle est d’abord un peu réticente, ce que je trouve étonnant (elle veut bien qu’on la saute, mais pas qu’on l’embrasse ?!), puis elle se laisse faire. Nous nous roulons une pelle magistrale, longuement, puis je cède de nouveau la place à mon ami pour reprendre son sein.
En sentant la jouissance venir, je veux partager avec elle ce moment, réellement, honnêtement. Je la préviens donc d’abord :
— Je vais venir ! hurlé-je, trop transporté par le plaisir pour que ma voix soit vraiment reconnaissable.
— Vas-y mon petit ! m’encourage-t-elle. Lâche tout, remplis-moi bien !
— Oh oui maman, je viens !
Elle semble surprise, et je retire alors le tissu qui lui obstrue les yeux. Elle sursaute, tente de se débattre, mais je la retiens.
— Justin ? Oh mon dieu, qu’est-ce que tu fais ? Tu es fou ?!
— Non maman, regarde comme c’est bon !
Je suis transporté par le plaisir, l’orgasme monte déjà en moi.
— Oh maman je viens ! Je vais jouir en toi !
— Non !! hurle-t-elle. Non Justin, pas à l’intérieur !
— Oh si, je viens ! Je viens !
Je me répands alors en elle, longuement, tandis que Nico la tient pour l’empêcher de se dégager. Chaque spasme de plaisir apporte un nouveau flot de sperme brûlant, emplissant le bas-ventre de ma mère. Il me semble que l’orgasme ne ...
... s’arrêtera jamais. Elle pleure tandis que j’exulte, mais je ne parviens pas à m’en vouloir sur le moment, trop préoccupé par mon plaisir.
Lorsque tout est fini, c’est évidemment plus compliqué. La scène qui suit est très pénible, même si ma mère l’écourte très vite en s’enfuyant en pleurant. Nous nous séparons donc peu de temps après avec Nico, l’ambiance nettement rafraîchie.
Quand je suis de retour chez moi, ma mère me saute dessus immédiatement et m’attire à l’écart.
— Je peux savoir ce qui t’a pris ? me demande-t-elle.
— J’ai vu ce qui s’est passé avec Nico la semaine dernière. Je crois que tu n’as pas de raisons d’être plus fière de moi !
Cet aveu franc et direct lui coupe le souffle. Elle ne sait manifestement pas quoi répondre.
— Nous n’en parlerons plus jamais, conclut-elle seulement.
Puis elle s’éloigne sans un mot, retournant vaquer à ses occupations.
Le week-end se déroule en effet sans que le sujet soit de nouveau abordé, mais nous parvenons ma mère et moi à reprendre des échanges presque normaux, au moins sur la forme, pour que les autres ne remarquent rien.
Les questions se bousculent néanmoins à toute allure dans ma tête : même si ma vie à l’université semble prendre un tour plutôt agréable, je ne suis pas sûr qu’il en soit de même dans ma famille. La situation est quasiment la même avec ma mère et avec Charlotte : suis-en passe de les gagner vraiment, ou au contraire de les perdre à jamais ?
Et la perspective d’une vie sexuelle plus ...