1. L'université : de la soumission à la consécration (10)


    Datte: 13/08/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: donico, Source: Xstory

    ... fini, il s’effondre sur ma mère en lui glissant ces quelques mots à l’oreille :
    
    — Merci Catherine, merci. C’était merveilleux, vraiment. J’espère qu’on pourra se revoir.
    
    — Mais j’y compte bien mon cher gendre ! répond ma mère, pas encore rassasiée. Où est ton copain maintenant ? J’en veux encore !
    
    Nico m’adresse un rapide clin d’œil.
    
    — Je vous l’ai dit, il est très timide. Ce qui serait bien, c’est que vous vous placiez à quatre pattes, dos à lui, pour qu’il vienne vous prendre sans être vu.
    
    — Je vois.
    
    Elle hésite un instant, sans doute perturbée par la demande. Mais au vu de la déchéance à laquelle je viens d’assister, couplée à son degré d’excitation, je n’ai guère de doute quant à son acceptation. Et effectivement elle accepte, se positionnant dos à moi sans un mot.
    
    J’émerge alors de la salle de bain, nu et bandé, et j’adresse à mon tour un sourire à Nico. Je vais même jusqu’à lui taper dans la main, plus que satisfait de son rôle. Il s’est bien rattrapé de ses manquements passés !
    
    — Ta mère est vraiment un super bon coup, me souffle-t-il à l’oreille.
    
    — Elle a l’air, oui.
    
    Je monte alors sur le lit, puis j’attrape sans attendre les hanches de ma génitrice. Je guide mon sexe à l’entrée du sien, puis je la pénètre enfin.
    
    Comment définir tout ce que je ressens alors ? Ma première pensée est pour mon père, encore une fois. Je me dis qu’il est cocu, mais cette fois par son fils ! C’est horrible… et si excitant !
    
    Ensuite, je pense à ma ...
    ... mère. A ce qu’elle dirait si elle savait qui est en train de la baiser. J’ai bien entendu ce qu’elle a dit quelques instants plus tôt, mais je doute que ce soit réellement ce qu’elle pense. Emportée par le plaisir, ses mots ont probablement dépassés sa pensée.
    
    Ensuite, je me concentre sur mes sensations. Mon sexe va et vient dans une chatte béante, littéralement inondée de mouille et du sperme de Nico. Certes, le cul contre lequel butte à intervalles régulier mon bas-ventre ne vaut pas celui, bien ferme, de Léna ou de Camille ; mais en revanche, ses loches !
    
    A l’instant où mes mains attrapent sa lourde poitrine, je comprends que cela dépasse mes espoirs les plus fous. Quel n’est pas mon plaisir, alors, de les malaxer à mon tour, en songeant en plus que c’est ceux de ma mère !
    
    La tringler ainsi est merveilleux, mais je veux plus encore. Je veux franchir un nouveau palier. Je fais un signe à Nicolas, qui comprend aussitôt. Il faut dire qu’on avait préparé notre coup.
    
    Mon ami s’approche de ma mère, puis il présente son sexe devant sa bouche. Cela ne faisait pas partie du plan, mais je ne peux pas lui reprocher de prendre du bon temps. Sans même poser de questions ni rechigner le moins du monde, celle qui m’a mis au monde prend la bite de mon pote en bouche, puis commence à le sucer.
    
    Nico se laisse faire ainsi pendant quelques secondes, puis il installe un bandeau sur les yeux de ma mère.
    
    — J’aime bien bander les yeux, explique-t-il. Ça me donne une impression de ...
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