1. Sophie


    Datte: 13/08/2021, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail Oral 69, fsodo, init, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... manifeste son admiration pour le dessous de la robe de son employée, mais reste respectueux, ce qui énerve Sophie, elle aurait aimé une tentative afin… afin de quoi ? Le remettre en place ou accepter cette audace ? Elle ne le sait trop. Bien qu’il ne soit pas encore midi, tous deux sont fatigués et Pascal décide de s’arrêter, ils rattraperont le temps perdu plus tard.
    
    — Où manges-tu ? lui demande-t-il.
    — Au restaurant que m’a fait connaître Évelyne.
    — Si ça ne te dérange pas, je viens avec toi, ça me changera de convive, le notaire est bien gentil, mais l’avoir tous les jours devant soi, ce n’est pas amusant.
    — Cela risque de te changer de nourriture.
    — Oh, mais j’ai été étudiant et j’ai connu les jours sandwichs !
    
    Le repas a été détendu, le menu était correct, ils ont parlé de tout, sauf de travail. Pascal s’est révélé un interlocuteur amusant, plaisantant sur beaucoup de sujets. Ils sont revenus rapidement, bien avant l’heure normale.
    
    — Je te propose de faire une petite sieste, mon fauteuil m’ira très bien, tu pourras prendre le canapé.
    — Volontiers, lui répond-elle, se demandant s’il va amorcer une approche.
    
    La main s’est posée sur l’épaule, mais seulement pour la tirer de son rêve. Elle a cédé au sommeil sans s’en rendre compte. Ils règlent quelques affaires en retard. Puis classement des dossiers, la méthode est au point, ils avancent beaucoup plus vite. À nouveau montée aux archives, rangement parfois sur l’échelle. Je vais le tenter, voir sa ...
    ... réaction se dit Sophie. À un moment, elle essaie de mettre un dossier au loin sans déplacer l’échelle et perd l’équilibre. Deux mains la saisissent, la soutiennent, en se plaçant aux endroits appropriés, sous les fesses. Et l’étreinte tarde à se desserrer.
    
    — Heureusement que j’étais là, sinon c’était l’accident de travail et je me retrouvais seul tout le mois.
    — Merci, mais maintenant tu peux me lâcher.
    — Tu crois, j’ai pourtant une drôle d’impression, comme si ta chute n’était pas fortuite mais plutôt provoquée. Dans les deux cas, il fallait que je te maintienne bien, dit-il en souriant.
    
    Je ne suis qu’une imbécile, se dit-elle, il a vite compris que je l’avais fait exprès. Il l’a relâchée lentement. Le classement a repris, mais maintenant il ne se gêne plus pour regarder ses dessous. Le soir, il l’a raccompagnée d’un coup de voiture jusqu’à l’appartement. Il ne lui a pas demandé l’adresse, il la connaissait. Il s’est comporté très respectueusement, lui serrant seulement la main. Cette première journée en duo l’a excitée. La nuit a été traversée de rêves érotiques où Franc n’était pas présent. En se levant, elle a décidé de voir jusqu’où il osera aller. Elle a choisi une mini-jupe, a mis un string assez provoquant. Au lieu d’un polo, sur son soutien-gorge pigeonnant, elle a mis un chemisier boutonné, jusqu’en haut pour aller au travail. À huit heures précises, elle est arrivée. Il était déjà là, penché sur des papiers.
    
    — Bonjour, comment vas-tu ? lui a-t-il dit.
    — Très ...
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